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LA Dérobade

 

 

Comédie dramatique de 1979 durée 120' Couleur

 

Réalisation de Daniel DUVAL

D'après le roman de Jeanne CORDELIER

Scénario de Christopher FRANK

Adaptation de Jeanne CORDELIER, Christopher FRANK

et Daniel DUVAL

Directeur de la photographie Michel CENET

Musique de Vladimir COSMA

 

avec

Miou-Miou

Maria Schneider

Niels Arestrup

Jean Benguigui

Daniel Duval

Michel Berto

Jacques Doniol-Valcroze

Jean-Claude Dreyfus

Isabelle Mergault

Régis Porte

Patrick DEPEYRRAT

Maria Verdi

Françoise Deldick

Guy Kerner

Yves GABRIELLI

Martine Ferrière

Henry Djanik

Max Morel

Bernard Cazassus

Marie Pillet

Albert Dray

Marc Adjadj

Brigitte Ariel

Thérèse Quentin

Patricia Millardet

Maaike Jansen

Emilie Benoît

Nadia Kaci

Joëlle Guillaud

Deddy Dugay

Brigitte Sy

Daniel Vérité

Alain Frérot

Maïté Nahyr

Christian Delangre

Noëlle LEIRIS

Christiane Tissot

Gérard Guit

Frank Stuart

René Marquant

Manuela Gourary

Benjamin Simon

Luc Bergerac

Jeanne Carré

Jean-Claude Jay

Henri Viscogliosi

Herbert Fiala

Adelita Requena

Yvon Brexel

Monica Botero

Véronique Brisset

Suzanne Dupré

Serge Fabris

 

 Sortie le 17 octobre 1979

 

Résumé

 Marie a dix-neuf ans; elle est vendeuse chez un marchand de chaussures. Un jour, dans le café que fréquente son père, elle fait la connaissance de Gérard, un souteneur dont le physique, les costumes et la voiture américaine la fascinent.

 Séduite, Marie résiste au séducteur car elle a une sœur prostituée et sait ce qui l'attend. Mais elle finit par succomber au charme de Gégé et accepte de travailler pour lui dans une " maison " dirigée par Madame Pedro. Elle y attire beaucoup de clients... Marie se lie avec une autre prostituée, Maloup, pour laquelle elle éprouve une amicale tendresse.

 Lors d'une rafle, la jeune fille est arrêtée : désormais elle est fichée dans les dossiers de la police... Gérard se montre toujours plus exigeant, la frappe. Marie se rebiffe et se " met à son compte ", avec Maloup, dans un petit studio.

 Mais Gégé la reprend sous sa coupe et lui impose les " hauts rendements " de la rue Saint-Denis. C'est en trop pour Marie qui décide d'arrêter. Le " milieu" lui impose, pour se libérer, de verser à Gérard la totalité de ses " recettes " pendant un an.

 L'année écoulée, Marie, enfin libre, va trouver la police pour lui demander de la faire disparaître des fichiers.