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LA CITÉ DE LA PEUR

 

 

 

Comédie de 1993

 

Réalisation de Alain BERBERIAN

Scénario et dialogues de

Dominique FARRUGIA, Chantal LAUBY et Alain CHABAT

Directeur de la photographie Laurent DAILLAND

Musique de Philippe CHANY

Montage de Véronique Parnet

 

avec

Chantal LAUBY

Alain CHABAT

Dominique FARRUGIA

Gérard DARMON

Sam KARMANN

Jean-Christophe Bouvet

Tcheky KARYO

Daniel GÉLIN

Jean-Pierre BACRI

Eddy MITCHELL

Valérie LEMERCIER

Artus de PENGUERN

Michel Hazanavicius

Éric PRAT

Dominique BESNEHARD

Olivier Doran

DAVE

Marc de JONGE

Pierre LESCURE

Patrick LIZANA

Patrick Steltzer

Florence Joubert

Hélène Rodier

Christian Gazio

Hélène de Fougerolles

Victoria Obermayer

Alexis Desseaux

Fedele Papalia

Jean-Pierre Thorn

Pierre Amzallag

Sophie MOUNICOT

Nicolas Abraham

Géraldine Bonnet-Guérin

Guillaume de Montlivault

Christophe LUTHRINGER

Zoon Besse

Nicolas GIRAUDI

Florence Viala

 

 Sortie le 09 mars 1994

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Résumé

 Serge Karamazov, de l’agence Security, doit assurer la protection de Simon Jeremi, vedette du film d’horreur «Red is dead» sélectionné au Festival de Cannes. Une malédiction pèse sur ce film. Les opérateurs devant en assurer la projection périssent un à un, victimes d’un mystérieux tueur armé d’une faucille et d’un marteau. Le commissaire Bialès est sur les dents. Il n’exclut pas la culpabilité d’Odile Deray, la belle attachée de presse, pour qui cette série de meurtres constitue une fort opportune publicité. Divorcée depuis quatre ans et donc libre, la jeune femme tombe vite sous le charme du beau policier, dont elle devient la maîtresse. Pendant ce temps, Karamazov doit subir les affres de la compagnie de Simon Jeremi, un énergumène qui, chaque fois qu’il est content, projette devant lui une conséquente gerbe de vomi…

 Malgré de nombreuses annonces dans les journaux, aucun nouveau projectionniste ne se porte volontaire. Odile pense seulement alors à faire venir Émile Gravier, qu’elle avait connu à ses débuts à Dijon lorsque tous deux s’occupaient du festival «Moutarde et cinéma».

 Toujours amoureux d’elle, bien qu’elle n’ait cessé de l’évincer, voire de l’humilier, Émile est là, avec toute l’équipe, pour gravir les marches du palais le soir de la projection officielle. Il s’avère que c’est lui le tueur. Il ne supportait pas qu’Odile n’ait pas fait appel à lui, c’est à lui seul que revenait de projeter le film, il a donc supprimé les quatre autres. Émile est pris au piège lorsque surgit Jean-Paul Martoni, politicard local et véreux, évadé de prison après son incarcération pour le meurtre d’un député écologiste. Martoni prend Odile en otage. Émile lui plante sa faucille dans le dos, avant de périr sous les balles. Après l’avoir suspecté, Odile, est désormais heureuse de retrouver son commissaire…