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JEANNE D'ARC

 

 

Drame de 1998

 

Réalisation et scénario de Luc BESSON

Co-scénariste Andrew BIRKIN

Directeur de la photographie Thierry ARBOGAST

Musique de Éric SERRA

Montage de Sylvie Landra

 

avec

Milla JOVOVICH

Pascal GREGGORY

Vincent CASSEL

Tcheky KARYO

Gérard Krawczyk

Dominique MARCAS

Olivier Rabourdin

Jacques Herlin

Christian Erickson

Tara Romer

Joseph Malerba

Philippe Du Janerand

Frédéric Witta

René Marquant

Bruno Flender

Julie-Anne Roth

Jean-Pierre Gos

Olga Sékulic

Mélanie Page

René Remblier

Tonio DESCANVELLE

Quentin OGIER

Sissi Duparc

Eric Mariotto

Joseph Rezwin

Jemima West

Romain Protat

Faye DUNAWAY

Richard RIDINGS

Desmond HARRINGTON

Dustin HOFFMAN

John MALKOVICH

Vincent REGAN

Timothy WEST

 

Sortie 27 octobre 1999

Résumé

 Lors du saccage par l’armée anglaise de Domrémy, son village, Jeanne, une enfant pieuse, est le témoin horrifié de l’assassinat et du viol de sa sœur par un soudard. Dès lors, elle hait la guerre ; la religion et la prière sont tout pour elle. Devenue jeune fille, elle est sûre de recevoir de pressants messages de Dieu et de ses saints, la poussant à prendre la tête d’une armée pour chasser l’envahisseur puis aider le Dauphin à devenir roi et rétablir la paix. D’abord incrédule, son entourage se laisse emporter par sa détermination.

 Elle va à Chinon, reconnaît le Dauphin caché parmi les courtisans, a une entrevue avec lui dont il sort ébranlé. Après un humiliant examen de virginité ordonné par l’Église, une armée lui est confiée. Yolande, belle-mère du Dauphin, voit tout le parti qu’on peut tirer de la jeune fille sur le plan politique.

 Jeanne conduit l’assaut qui libère Orléans des Anglais, mais le prix de la victoire est lourd et provoque quelques doutes en elle. Le roi est sacré à Reims. Par la suite, elle échoue militairement devant Paris, la politique et la diplomatie prennent le dessus, elle est abandonnée par le roi. À Compiègne, elle est capturée par les Bourguignons, alliés des Anglais qui jurent sa perte.

 Au terme d’un procès qui veut la confondre sur le plan religieux, Jeanne confirme sa force de caractère et embarrasse ses accusateurs, même l’évêque Cauchon. Durant son emprisonnement, pendant lequel elle est torturée et humiliée, elle vit par ailleurs une intense remise en question, un confesseur, voix de sa conscience, la mettant en face de ses contradictions, voire de son orgueil.

 Jeanne est brûlée en place publique à Rouen le 30 mai 1431 pour hérésie. Elle n’avait que dix-neuf ans. Elle sera canonisée cinq cents ans plus tard.