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PARS VITE ET REVIENS TARD

 

 

Policier de 2006 durée 115' Couleur

 

Réalisation et scénario de Régis Wargnier

D'après l'œuvre de Fred Vargas

Co-scénaristes Julien Rappeneau, Ariane Fert,

Harriet Marin et Lawrence Shore

Dialogues de Julien Rappeneau et Ariane Fert

Directeur de la photographie Laurent Dailland

Musique de Patrick Doyle

Montage de Yann Malcor

 

avec

José Garcia

Marie Gillain

Lucas Belvaux

Olivier Gourmet

Nicolas Cazalé

Linh Dan Pham

Michel Serrault

Marc Robert

Jean-Gilles Barbier

Mathias Mlekuz

Geneviève Penchenat

Myriam Moszko

Esther Sironneau

Jacques Collard

Daniel Kenigsberg

Stéphane Butet

Jean-Philippe Puymartin

Serpentine Teyssier

Dominique Bettenfeld

Marie Parouty

Roméo Escala

Florence Muller

Justin Blanckaert

Jean-Pierre Becker

Garance Le Guillermic

Félicité N'Gijol

Norbert HABERLICK

Sophie Le Tellier

Frédéric Jardin

Cécile Sanz de Alba

Grégory Montel

Eric Soubelet

Laurent Richard

Arnaud Maillard

Grégoire Taulère

Titouan Laporte

Jean-Marie Juan

Emma-Louise Marsal

Satya Dusaugey

Raphaël Poulain

Eric Perissé

Lana Ettinger

 

 Sortie le 24 janvier 2007

 

 

 

 

 

 

 

Résumé

 Le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg n'aime pas le Printemps. Il se méfie des montées de sève, des désirs d'évasion, du déferlement des pulsions, tous ces signaux qui sonnent le retour des beaux jours...

 Et il a raison Adamsberg... Sa fiancée, Camille, prend du recul, et son absence coupe les ailes du commissaire, au moment où il en aurait le plus besoin : Quelque chose vient de tomber sur la capitale, une énigme porteuse de malédiction, qui pourrait bien virer au malheur, si on ne la résout pas fissa...

 D'étranges signaux se répandent sur les portes des immeubles de Paris, et des mots inquiétants, mystérieux, sont lâchés à la criée sur les marchés...

 Et puis arrive ce qu'Adamsberg redoutait : Un premier mort, le corps noirci, le visage figé dans une grimace de terreur, les signes de la peste... Et c'était ça qu'annonçait l'énigme, le retour du terrible fléau, mais avec une sacrée variante, il semble que quelqu'un contrôle la maladie et la porte où il veut.