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LE DOSSIER NOIR

 

   

 

Comédie dramatique de 1955 durée 115' n&b

 

Réalisation et scénario de André CAYATTE

Co-scénariste et dialoguiste Charles SPAAK

Directeur de la photographie Jean BOURGOIN

Musique de LOUIGUY

Montage de Paul Cayatte

 

avec

Antoine BALPÉTRÉ

Bernard BLIER

Jean-Marc BORY

Henri CREMIEUX

Danièle DELORME

Paul FRANKEUR

Noël ROQUEVERT

Daniel CAUCHY

Guy DECOMBLE

Jacques Marin

Lucien NAT

Hélèna MANSON

Sylvie

Yvette Etiévant

Madeleine BARBULÉE

Paul FAIVRE

Gabrielle Fontan

Alain Bouvette

André VALMY

Madeleine SUFFEL

Paul BARGE

Jean Berton

Nelly BORGEAUD

René Génin

Charles Lemontier

Marcel Rouzé

Lucien RAIMBOURG

Christian FOURCADE

Jacky MOULIÈRES

Roger Saget

Jacques Duby

Julien Verdier

Charles Bouillaud

Robert ROLLIS

Robert MOOR

Jean DAURAND

Edmond Ardisson

Giani Esposito

Gabriel Gobin

Liliane MAIGNE

Monette DINAY

Nadine Basile

Jean-Paul Moulinot

Jacqueline Marbaux

Jean-Pierre GRENIER

Cécile DIDIER

Bernard Cara

François Vibert

Léa PADOVANI

 

 Sortie le 18 mai 1955

 

 

Résumé

 Nouvellement nommé juge d’instruction, Jacques Arnaud prend son poste à Lancourt, une petite ville de province qui vit sous l’emprise de Boussard, un riche entrepreneur sans scrupules. Dutoit, éleveur de bergers allemands, vient porter plainte : quelqu’un a empoisonné plusieurs de ses chiens. Il confie au jeune juge qu’on a fouillé sa maison pour y dérober un certain “dossier noir” établi par son ami Le Guen, qui vient de mourir, et impliquant Boussard et le conseil municipal dans une affaire de spéculation frauduleuse.

 Méfiant, Arnaud fait exhumer le corps de Le Guen, et l’autopsie y révèle la présence d’arsenic. Aux ordres de Boussard, le commissaire Franconi ne tarde pas à trouver un coupable bien commode : Dutoit lui-même, qui aurait tué son ami à la suite d’une dispute…

 Venu spécialement de Paris, le commissaire Noblet désigne une autre coupable possible en la personne de Françoise, la veuve du disparu, soupçonnée d’adultère avec son beau-frère Gilbert… C’est alors qu’Arnaud découvre que les viscères du mort ont été envoyés à l’institut médico-légal dans des bocaux sales appartenant à Dutoit et qui ont contenu les restes de ses chiens morts…

 Le poison trouvé dans le corps de Le Guen était donc celui qui avait tué les chiens. Emporté par sa soif de vérité et de justice, le jeune juge a révolutionné la ville et ruiné sa carrière pour une affaire criminelle qui n’existait que dans son imagination. Mais, conséquence dramatique de son action irréfléchie, Alain, le jeune fils de Le Guen, se suicide.