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LE DIABLE AU CORPS

 

 

Drame de 1946 durée 110' n&b

 

Réalisation de Claude AUTANT-LARA

D'après le roman de Raymond RADIGUET

Scénario et dialogues de Jean AURENCHE et Pierre BOST

Directeur de la photographie Michel Kelber

Musique de René CLOEREC

Montage de Madeleine Gug

Décors de Max Douy

Costumes de Claude AUTANT-LARA et Monique Dumas

Ingénieur du son William Robert Sivel

 

avec

Micheline PRESLE

Gérard PHILIPE

Jean DEBUCOURT

Denise GREY

Pierre PALAU

Jacques TATI

Albert RÉMY

Jacques Beauvais

Richard FRANCŒUR

Edmond Beauchamp

Léon Larive

Jean Berton

Jeanne PEREZ

Michel FRANCOIS

Albert Michel

André Bervil

Jean VARAS

Charles Vissière

Germaine LEDOYEN

Max Maxudian

Maurice LAGRENEE

Marthe MELLOT

Albert Glado

Tristan Sévère

Jean Fleury

Henri Gaultier

Roger Vieuille

Jacques LACOMBE

 

 Sortie le 12 septembre 1947

Résumé

 Tandis que les cloches de l'armistice de la guerre 14-18 sonnent, Marthe Lacombe est enterrée.

 Un jeune homme, François Jaubert, écrasé de chagrin, se souvient... En 1917, à Nogent-sur-Marne, Marthe Grangier, une infirmière et François, un étudiant s'éprennent l'un de l'autre. Marthe est fiancée à Jacques Lacombe, alors au front. Madame Grangier, qui désire ce mariage signifie à François que sa fille va épouser son fiancé. Écœuré, François ne vient pas au rendez-vous que lui a fixé Marthe.

 Quelques mois plus tard ils se revoient. Marthe, bien que mariée, comprend qu'elle aime toujours François, ils deviennent amants. Les voisins chuchotent. Marthe est renvoyée de l'hôpital.

 Un jour Marthe annonce à François qu'elle est enceinte et lui demande de prendre ses responsabilités mais François est faible et indécis... On parle aussi de la fin de la guerre.

 Madame Grangier envoie sa fille en Bretagne. François l'accompagne à Paris. Tous deux font un pèlerinage sur les lieux de leur bonheur.

 Dans la joie de l'annonce prématurée de l'armistice, Marthe sent les premières douleurs.

 Elle se rend chez elle et meurt en donnant naissance à son fils. Son mari est là lorsqu'elle prononce le nom de François et Madame Grangier fait un pieux mensonge en disant que Marthe désirait que l'on donne ce nom à son enfant.