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QUE LA FÊTE COMMENCE...

 

 

Drame de 1974 durée 114' Couleur

 

Réalisation, scénario et dialogues de Bertrand TAVERNIER

Co-scénaristes Jean AURENCHE et Claude SAUTET

Co-dialoguiste Jean AURENCHE

Directeur de la photographie Pierre William GLENN

Musique de Philippe d'ORLÉANS et Antoine Duhamel

Montage de Armand Psenny

 

avec

Philippe NOIRET

Jean ROCHEFORT

Jean-Pierre Marielle

Marina VLADY

Christine PASCAL

Alfred ADAM

Jean-Roger CAUSSIMON

Gérard DESARTHE

Thierry LHERMITTE

Hélène VINCENT

Nicole GARCIA

Gérard JUGNOT

Michel BLANC

Christian CLAVIER

Daniel Duval

Monique CHAUMETTE

Brigitte RoÜan

Jacques HILLING

Jean ROUGERIE

Bernard La Jarrige

Michel Berto

Michel BEAUNE

Jean-Jacques Moreau

Pierre Moncorbier

Philippe Chauveau

Pierre FORGET

Jean-Paul Farré

Bruno Balp

François DYREK

Jean Le Mouël

Raymond Girard

Andrée TAINSY

Jean-Luc MOREAU

Georges Riquier

Maurice Jacquemont

Max Morel

Jean Amos

Liza Braconnier

Agnès Château

Yves Elliot

Blanche Raynal

Roland Amstutz

François VALORBE

René Morard

Jacqueline Parent

Stéphane BOUY

Patrick Raynal

Jacky Pratoussy

Bernadette Le Saché

Jean Turlier

Monique Lejeune

Bertrand Migeat

Blanche Rayne

Gilbert Bahon

Yvon Lec

Jacques Van Dooren

Anthony Stuart

Eric Lorvoire

Gilles Guillot

Colette Proust

 

 Sortie le 26 mars 1975

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résumé

 1719 en Bretagne. La révolte éclate, contre la pression du pouvoir et la famine qui sévit, sous la direction d'un nobliau impatient, le marquis de Pontcallec. Avant de passer à l'action armée, le marquis décide de se rendre à Paris et d'avoir un entretien avec le Régent, Philippe d'Orléans. Celui-ci est un chef d'État libéral et travailleur. Du moins le jour, car, dès la nuit tombée, il court aux petits soupers et aux fêtes galantes. Il vient justement d'enterrer sa fille Joufflotte. Il est parvenu à surmonter son chagrin et semble saisi d'une énergie nouvelle pour gouverner.

 L'abbé Dubois, son ministre et complice, l'incite à sévir contre les Bretons, mais il est éconduit avec humour. De Pontcallec arrive sur ces entrefaites à Paris, où il est arrêté et déporté vers la Louisiane. Il parvient à s'échapper et rejoint son manoir, bien décidé cette fois à déclarer la guerre au Régent. Cette révolte fait bien l'affaire de l'abbé Dubois qui grossit auprès du Régent l'importance du complot. Celui-ci accepte de faire arrêter Pontcallec mais refuse toute effusion de sang.

 À Paris, la situation s'aggrave : c'est la banqueroute. Dubois exige un exemple et arrache la condamnation de Pontcallec et de ses trois amis qui seront exécutés sans autre forme de procès.