Comédie de 2018 durée 106' Couleur

Réalisation de Patrice Leconte, Christophe Alévêque, Rémi Cotta, Jean-Claude Deret, Charles Dubois, Sophie Forte, GiedRé, Nadia Bourgade, Albert Meslay et Miguel-Ange Sarmiento

Scénario de Patrice Leconte, Christophe Alévêque, Jean-Claude Deret, Sophie Forte, GiedRé, Nadia Bourgade, Laurent Biras, Christine Eche, Phil Marboeuf, Albert Meslay, Dominique Meunier, François Rollin, Miguel-Ange Sarmiento et Laurent Violet

Directeurs de la photographie Boris Abaza, Mathilde Cathelin, Mathieu De Montgrand, Guillaume Dreujou, Jean-Marie Dreujou, Christophe Hustache-Marmon,
Thierry Matalou et Vincent Scotet

Musique de Lucid Beausonge, Alain Bernard, Brendon Bourgade, Phil Marboeuf, Étienne Perruchon, Vadim Sher et Jean-François Varlet

Montage de Alice Moine

Décors de Catherine Parmantier

Ingénieurs du son Paul Lainé, Sébastien Linsolas, Frédéric Hullmann, Alexis Assadourian, Vincent Chesnay, Jean-François Marbire, Frédéric Ullman

avec

Arielle Dombasle

Zabou Breitman

Albert Delpy

Serge Riaboukine

Jacques Frantz

Christine Murillo

Jérémie Duvall

Virginie Lemoine

Philippe Chevallier

François Rollin

Agnès Akopian

Husky Kihal

Jean-Pierre Malignon

Geoffroy De La Taille

Christophe Alévêque

Philippe Collin

Prescillia Andreani

Albert Meslay

Guy Louret

Bernard Fructus

Dominique Fouilland

Nealson Bourgade

Virginie Gritten

Sylvia Gnahoua

Serena Minaldi Reinaldi

Noelann Bourgade

Laurence Benoit

Laurence De Greef

Olivier Breitman

Bérengère Jean

Christelle Annocque

Julie Guio

Elyas Garnier

Chloé Garnier

Frédéric Poteau

Emmanuel Pallas

Gauthier Pougeoise

Jeanne Chartier

Wolf Kleinhertz

Rose Fonsagrive

Thibaud Houdinière

Muriel Lemarquand

Sortie le 17 avril 2019

 Salauds de pauvres est un film à sketches, écrit par douze auteurs. Miroir ou projection, Salauds de pauvres s’amuse de faits de tous les jours et ne raconte pas une histoire, mais des histoires.

 À travers ces histoires courtes et amères, sont dévoilées toutes les fissures du genre humain, qui, dans un mouvement de mondialisation et de néolibéralisme de plus en plus affirmé, peuvent amener l’homme ordinaire à être un monstre de lâcheté, de cruauté, d’indifférence ou d’hypocrisie.

 Salauds de pauvres sous un angle décalé, retranscrit la réalité de façon provocante ou non, toujours avec la même ambition : faire réagir.