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JE SAIS RIEN, MAIS JE DIRAI TOUT

 

 

Comédie de 1973 durée 78' Couleur

 

Réalisation et scénario de Pierre RICHARD

Co-scénariste Didier KAMINKA

Directeur de la photographie Pierre LHOMME

Musique de Michel FUGAIN

Montage de Yann Dedet

 

avec

Pierre RICHARD

Bernard BLIER

Didier KAMINKA

Hélène DUC

Daniel PRÉVOST

Pierre Tornade

Gérard Rinaldi

Gérard Filipelli

Jean Sarrus

Luis REGO

Jean-Guy Fechner

Bernard Musson

Jean OBÉ

Bernard Haller

Nicole JAMET

Georges BELLER

Pierre REPP

André THORENT

André GAILLARD

Bernard Charlan

Mado Maurin

Francis Lax

Marcel Gassouk

Michel DELAHAYE

Serge Berry

France RUMILLY

Danièle MINAZZOLI

Gérard Croce

Roger LUMONT

Annick Berger

Christiane Minazzoli

Jean SAUDRAY

Ibrahim Seck

Serge Bourrier

Xavier DEPRAZ

Jean BOUCHAUD

Jean Mermet

Michel Tugot-Doris

Alice REICHEN

François ROBERT

 

 Sortie le 06 décembre 1973

 Résumé

 Issu d'une famille d'ecclésiastiques et de militaires, tous avides de puissance, Pierre, 33 ans, se contente d'être éducateur social de Luis. Didier et Georges, trois "p'tits gars " qu'il cherche à remettre dans le droit chemin.

 Aussi mal à l'aise dans sa famille qu'inadapté dans son travail, il se fait arrêter par la police au cours d'un hold-up organisé par ses protégés... Libéré grâce au pouvoir de son père, Gastié-Leroy, il accepte enfin le poste de responsable du service social, dans son entreprise d'armement. Méprisé par les ouvriers à qui il prône l'antimilitarisme et incapable de résoudre le moindre problème auquel sont confrontés les travailleurs immigrés, il prend surtout le temps de tomber amoureux de Danou, une des infirmières de l'usine, qui l'oublie pendant une prise de sang.

 Décidé à renverser l'entreprise de son père, il fait engager ses trois "p'tits gars " dans l'espoir qu'ils y sèmeront la pagaille. Contrairement à ses objectifs, les garçons font preuve d'un zèle effréné pour accélérer les cadences de travail et, du coup, se mettent à dos tous les ouvriers. Ils en profitent néanmoins pour subtiliser 499 chars d'assaut. ce dont Gastié-Leroy se félicite car il charge Pierre de les vendre sous le manteau, tandis que lui-même touchera l'assurance.

 Enfin au faîte de sa gloire, lors d'une démonstration de fusée à tète chercheuse auprès du ministre de la Défense, Gastié-Leroy, au comble de l'excitation, en envoie une par inadvertance sur son usine. Pierre, hilare, voit enfin accompli au-delà de ses espérances, son désir le plus cher.