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ABUS DE CONFIANCE

 

 

Drame de 1937 durée 88' n&b

 

Réalisation de Henri DECOIN

Scénario et dialogues de Pierre WOLFF

Adaptation de Jean BOYER et Henri DECOIN

Directeur de la photographie Léonce-Henri BUREL

Musique de Georges VAN PARYS

Montage de Marguerite Beaugé

 

avec

Danielle DARRIEUX

Charles VANEL

Valentine TESSIER

Gilbert GIL

Jean MARAIS

PIERRE-LOUIS

Robert Ozanne

Jean WORMS

Thérèse DORNY

Georges Lannes

Yvonne Yma

Yvette LEBON

Léon Arvel

Lucien Callamand

Jean JOFFRE

René BERGERON

Marcel DELAITRE

Nicole de Rouves

Pierre MINGAND

Lucien Dayle

Yette Lucas

Robert Clermont

Pierre Athon

Clary Monthal

Génia Vaury

Julien Clément

Gaston Séverin

Gil Colas

Marcel Orluc

Ky DUYEN

Paul Marcel

Svetlana PITOEFF

 

 Sortie le 06 février 1938

Résumé

 Orpheline, sans famille et sans appui, la jeune Lydia, étudiante en droit, est en butte à la convoitise des hommes. Tour à tour, un inconnu rencontré dans la rue, un employeur possible, son logeur, un camarade de la Fac' lui font de révoltantes propositions. Lydia, désespérée, se confie à son amie Alice. Celle-ci, délurée et de mauvais conseil, développe une idée à Lydia, d'abord incrédule et réticente. À l'aide d'une vieille correspondance retrouvée, pourquoi ne pas faire croire à un homme estimable et estimé, l'écrivain Jacques Ferny, qu'elle est sa fille naturelle.

 Poussée par le besoin, Lydia se rend chez le romancier, et, contre toute attente, le stratagème réussit. Extrêmement ému, Jacques Ferny ouvre tout grand ses bras à son péché de jeunesse. Réservée et distinguée, Mme Ferny soupçonne quelque machination mais Pierre, le secrétaire de l'écrivain, n'a d'yeux et de sourires que pour Lydia. La jeune fille choyée, épaulée dans ses études, amoureuse de Pierre, serait parfaitement heureuse si le remords de son abus de confiance ne lui pesait pas.

 Mme Ferny, alertée par divers indices, se livre à une petite enquête et acquiert la certitude que Lydia a menti. Elle hésite tout de même à détruire le double bonheur de son mari et de sa prétendue fille. Or, devenue avocate, Lydia doit défendre une jeune délinquante accusée d'avoir commis la faute dont elle-même s'est rendue coupable. Son émotion communicative gagne le cœur des jurés et celui de Mme Ferny; celle-ci se taira et Lydia pourra parcourir une vie heureuse la main dans celle que lui tend Pierre.