LE JOUR SE Lève
Drame de 1939 durée 93' n&b
Réalisation de Marcel CARNÉ Scénario de Jacques VIOT Adaptation et dialogues de Jacques PRÉVERT Directeurs de la photographie André Bac, Curt COURANT Musique de Maurice JAUBERT Montage de René Le Hénaff Décors de Alexandre Trauner Costumes de Boris Bilinsky Ingénieur du son Armand Petitjean
avec
|
Sortie le 09 juin 1939 |
Résumé
Dans la banlieue ouvrière, une place et quelques boutiques, un bistrot et un immeuble de rapport, dressé comme un pic. Une voiture de maraîcher passe. L'entrée de l'immeuble, l'escalier que commence à gravir un aveugle, quand retentit une voix : "Tu vas la taire, ta gueule". Un coup de feu. Une porte palière s'ouvre et en sort un homme qui se tient le ventre et roule dans l'escalier jusqu'aux pieds de l'aveugle qui s'effare... François, l'ouvrier sableur, resté seul dans sa chambre que va bientôt assiéger la police, peut se souvenir. Il a rencontré Françoise, la fleuriste, à l'usine où elle venait livrer une commande pour la femme du directeur. Il en est tombé amoureux mais elle le repousse gentiment. Un soir où elle lui dit avoir un rendez-vous, il la suivra jusqu'au café où elle retrouve Valentin, le dresseur de chiens. Clara, assistante et maîtresse de Valentin, consolera François, mais en vain. Le saltimbanque, non content d'avoir séduit la jeune fille, ira menacer François. Il se moque de l'ouvrier, le pousse à bout : François tire sur Valentin... La police peut arriver avec les gaz : François s'est suicidé.
|
|
|
|