LA NUIT PORTE-JARRETELLES
Comédie de 1984 durée 85' Couleur
Réalisation, scénario et dialogues de Virginie Thévenet Directeur de la photographie Alain Lasfargues Musique de André Demay, Mikado et Virginie Thévenet Montage de Jacqueline Mariani Ingénieur du son Pierre Donnadieu
avec William Amatera Yves Amoureux Rosana Berenson Marie Beltrami Jean Bouyer Martine Boutram Romain Brémont Laura Duke Condominas Axel Chopin Vincent Dare Cyril Daugy Bethsabée de Gunzbourg Anémone de Gunzbourg David De Gunzbourg Dimitri de Gunzbourg Jacques de Gunzbourg Bernard de Bonnerive Bruno de Ballencourt Nina de Montesquieu Laurent De Bonnerive Marie-Henriette Dejean Gabrielle Estienne Gilles Faivre Caroline Fargeon Jean Feldman Laure Frapier Pascale Lafar Dominique Larger Hubert Lauly Christian Louboutin José Luis Samuel Mercer Marie-Hélène Masse Gunther Osterloh Manolo Otero Pierre-Julien Outers David Rochline Manoru Sakamoto Ulysse Santamaria Frédérique Thévenet Laurence Thévenet Nicolas Traube Didier Thuilleaux Nancy Van Slyke Duncan Youm-German
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Sortie le 20 mars 1985
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Résumé Paris et ses folies, Paris la nuit. Elle s'appelle Jézabel; il s'appelle Ariel. Elle vient d'être plaquée par Frédéric, le compagnon de sa vie survoltée, où elle engloutit tout avec gourmandise à 100 à l'heure; lui est disponible et carrément désœuvré. Jézabel l'entraîne dans une nuit d'ivresse où tous les plaisirs doivent être goûtés jusqu'à la lie. Après lui avoir fait découvrir à domicile sa sous-garde-robe au grand complet, dans un jeu savant d'ombres chinoises, cachée derrière un paravent de la même origine, ils optent pour un ensemble bustier-ajusté-porte-jarretelles-bas-fins-assortis, un imperméable par dessus et "A nous Paris!". On commencera par les bars louches, histoire de se "mettre en bouche" à l'aide de quelques verres, puis ce seront tous les sex-shops du quartier, écumés jusqu'au dernier, pour finir par passer "derrière le rideau du fond" pour s'adonner aux plaisirs du peep-show. Un délice en entraînant un autre, on se rendra au Bois de Boulogne "sur le terrain". On donnera un "lift" à l'une d'entre elles qui "remonte" sur Paris, pour terminer la nuit chez un ami de Jézabel, laquelle, pas encore assez ivre, espère obtenir d'Ariel qu'il se prête aux penchants du monsieur en question. Mais c'en est trop. Ariel est fatigué de cette errance frénétique et dérisoire. Il abandonne, jette le gant à la face de sa compagne d'une nuit de délires et repart seul vers son rien, la laissant désemparée, les bras encore pleins de fantasmes non assouvis.
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