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LES BRONZÉS FONT DU SKI

 

 

Comédie de 1979

 

Réalisation de Patrice LECONTE

Scénario et dialogues de L’équipe du Splendid

Directeur de la photographie Jean-François ROBIN

Musique de Pierre BACHELET

Montage de Noëlle Boisson

 

avec

Josiane BALASKO

Gérard JUGNOT

Marie-Anne CHAZEL

Christian CLAVIER

Michel BLANC

Dominique LAVANANT

Thierry LHERMITTE

Roland GIRAUD

Maurice CHEVIT

Michel SUCH

Maurice Aufair

Guy LAPORTE

Isabelle de BOTTON

Jean-Marc Henchoz

Doris THOMAS

Bruno MOYNOT

David PONTREMOLI

Martine AUFFRET

 

 Sortie le 21 novembre 1979

Résumé

 Les huit amis qui s’étaient connus dans un club de vacances d’été en Côte d’Ivoire se retrouvent aux sports d’hiver à Val d’Isère. Bernard et Nathalie, enrichis, affichent leur superbe et n’hésitent pas à chasser l’occupant, resté un jour de trop, de l’appartement qu’ils ont loué. Gigi, maintenant mariée à Jérôme, tient une crêperie. Christiane leur revient transformée par l’amour qu’elle a trouvé auprès d’un affable sexagénaire, Marius. Popeye, toujours frimeur, donne des leçons de ski et laisse croire qu’il tient une boutique d’articles de sport alors qu’en réalité il n’en est que l’employé. Surpris en train de dérober trois cents francs dans la caisse et contraint de les rendre, il doit les emprunter à Bernard.

 Jean-Claude, lui, erre et fantasme dans le vide, croyant vainement à la rencontre féminine qui va transformer sa vie. Jetant son dévolu sur la plus belle monitrice de ski, une certaine Anne Laurencin, il demande à ce qu’elle l’accompagne toute la journée du lendemain. Mais à l’heure dite, il apprend qu’elle est malade, et remplacée par… un moniteur peu charmant ! Peu auparavant, il avait emprunté le télésiège sans savoir que c’était l’heure de la fermeture et s’était retrouvé immobilisé, oublié de tous, à mi-pente. Ce n’est qu’au milieu de la nuit que, las, il s’était résigné à sauter pour rentrer, tout penaud, à l’hôtel. Le personnel y est exaspéré par ses demandes incessantes, et bien inutiles, pour obtenir une chambre double.

 Popeye n’a pas ce genre de problème. Le logement, il le trouve gratis, chez l’une, chez l’autre, de nuit en nuit. Avec madame Camus, ça semblait devoir durer. Seulement voilà ! Monsieur Camus arrive à la station plus tôt que prévu. Solution : Martine. Mais celle-ci aurait bien aimé qu’il vienne chez elle autrement que pour trouver un toit. Jeté dehors, Popeye demande asile à Jean-Claude. Cohabitation difficile. Tous se retrouvent autour d’une table à la crêperie, où Marius s’amuse à rendre la fondue immangeable. Puis ils partent en excursion, hors pistes, et s’égarent. Jérôme, Popeye et Bernard partent chercher du secours. Jean-Claude reste avec «Météo», Nathalie et Gigi, espérant, en désespoir de cause, «conclure» avec ces dernières. En fait, ils étaient tout près d’un village, où les paysans leur font goûter quelques «douceurs» de leur cru. Et les vacances s’achèvent…