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LA VOIE EST LIBRE

 

 

Comédie de 1997

 

Réalisation, scénario et dialogues de Stéphane Clavier

Co-scénaristes et co-dialoguistes Santiago AMIGORENA,

Christophe LOIZILLON et Marion VERNOUX

Directeur de la photographie François CATONNÉ

Musique de Michel HARDY

 

avec

François CLUZET

Emma de CAUNES

Éric CARAVACA

Zinedine SOUALEM

Édouard MONTOUTE

François LEVANTAL

Michel MULLER

Christophe Loizillon

Philippine LEROY-BEAULIEU

Jean-Paul MUEL

Valérie BONNETON

Annie GRÉGORIO

Bruno Lochet

Philippe Lefebvre

Brigitte CHAMARANDE

Jean-François Gallotte

Raphaëline GOUPILLEAU

Catherine Benguigui

Philippe Roux

Wilfred BENAICHE

Pascal Jaubert

Annie Legrand

Patrick ROCCA

Anne KREIS

Isabelle Spade

Valentin Traversi

Daniel Léger

Philippe PAIMBLANC

Jacques de Candé

Pascale Mariani

Marie-Hélène Lentini

Benoît Tachoires

 

Sortie le 14 janvier 1998

 Résumé

 Las de sa mise en disponibilité depuis douze ans par la SNCF, Jules veut rencontrer le ministre des Transports Altmayer, qui n'a répondu à aucune de ses dix-sept lettres et qui vient célébrer à Lyon la réouverture d'une petite ligne.

 Ne pouvant l'approcher, Jules prend en otages les voyageurs d'une micheline qui, sans que rien n'ait été remarqué, finit sa journée au dépôt, à L'Arbresle. De là, il tente de faire connaître sa requête aux autorités. Mais l'unique employé de la gare à cette heure-là est trop saoul pour réagir.

 Deux jeunes otages, Jeanne et Nadia, collègues dans le même grand magasin, parviennent à désarmer Jules et à s'enfuir. Fougueuse et prête à tout, Nadia file seule à bord de la voiture d'un automobiliste qui, l'ayant prise en auto-stop, a voulu abuser d'elle. L'homme n'est autre que Xavier, le mari de Jeanne; celle-ci ne cesse de se demander ce qu'elle fait avec lui depuis cinq ans. Aurait-elle décelé en Jules l'homme qui au moins saurait l'émouvoir ?

 Prétextant l'oubli de son sac, elle décide de retourner vers la micheline, où Jules a été rejoint, à son corps défendant, par son protégé Robert, supporter de foot un peu simple d'esprit. Grâce à elle, l'atmosphère se dégèle, et tous en viennent à mieux comprendre les motivations de Jules, voire à prendre fait et cause pour lui et même à le conseiller, tant leurs problèmes de citoyens sont finalement les mêmes.

 La cassette vidéo enregistrée à l'intention du ministre ne parviendra jamais à celui-ci; la gare est cernée par la police. Une revendication comme une autre est lancée : cinquante millions ! Un gros sac est jeté à bord par les policiers.

 Même partagé à onze, ce n'est déjà pas si mal. Comme promis, les "otages" sont tous libérés. Jeanne et Jules ferment la marche, filant le parfait amour... La voie est libre !