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LES LIONS SONT LÂCHÉS

 

   

 

Comédie de 1961 durée 95' n&b

 

Réalisation de Henri VERNEUIL

D’après le roman de NICOLE

Scénario de France ROCHE

Dialogues de Michel AUDIARD

Directeur de la photographie Christian MATRAS

Musique de Georges GARVARENTZ

Montage de Borys Lewin

 

avec

Claudia CARDINALE

Jean-Claude BRIALY

Michèle MORGAN

Danielle DARRIEUX

Lino VENTURA

Darry COWL

Daniel CECCALDI

Charles AZNAVOUR

Bernard Musson

Jean OZENNE

Marcel Charvey

Denise Provence

Louis ARBESSIER

Lucien Frégis

Pierre Dumayet

Francis Nani

Adrien Cayla-Legrand

David Tonelli

François Nocher

 

 Sortie le 20 septembre 1961

Résumé

 À son arrivée de Bordeaux, Albertine est accueillie à la gare par son amie Cécile. Lassée par la vie de province, elle est venue se divertir à Paris. Son mari l’ennuie de plus en plus et la jeune femme songe sérieusement à divorcer. Élégante et raffinée, Cécile représente pour elle un modèle d’équilibre, heureuse entre son mari et ses enfants, dans sa villa de Montfort-l’Amaury. Le lendemain, Albertine accompagne Cécile au grand raout printanier organisé par sa cousine Marie-Laure, snob et écervelée. Le docteur Challenberg, personnage bourru mais brillant médecin, et son épouse Hélène figurent parmi les invités. Albertine fait la connaissance de Didier Marèze, jeune romancier à la mode, dont l’esprit et la désinvolture la séduisent. Les semaines suivantes, Marèze fait découvrir le Paris mondain à la jeune provinciale émerveillée, qui tombe rapidement amoureuse de lui. Malheureusement, Didier doit s’éloigner quelque temps pour écrire un roman promis depuis longtemps à son éditeur.

 Pendant l’été, Albertine, qui loue désormais une chambre de bonne chez Marie-Laure, est courtisée successivement par le fils, le beau-fils et enfin le mari de sa logeuse en vacances. Lorsque Didier réapparaît, Albertine devient sa maîtresse mais découvre que Marie-Laure et Didier se retrouvent chaque après-midi dans sa chambre de bonne et constate amèrement qu’elle a été prise pour cible dans son nouveau roman, «La demoiselle de province». Déprimée, la jeune femme prend pour amant l’énergique Challenberg. Mais le docteur se consacre trop à son travail et néglige Albertine qui, déçue, se réfugie quelque temps chez Cécile.

 Réconciliés, Didier et Albertine s’affichent ensemble à la générale d’une pièce de théâtre à laquelle assiste le tout-Paris. Piqué de jalousie, Challenberg fait une scène à Albertine et lui promet de divorcer d’Hélène pour l’épouser. Marie-Laure, qui a écouté la conversation, s’empresse d’avertir Hélène des intentions de son mari. Challenberg se rend chez Marie-Laure et lui administre une gifle magistrale. Dans l’escalier, il croise Cécile qui lui apprend qu’Albertine est retournée vers son mari à Bordeaux.