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LES QUATRE CENTS COUPS

 

 

Drame de 1958 durée 99' n&b

 

Réalisation, scénario et dialogues de François TRUFFAUT

Co-scénariste et co-dialoguiste Marcel MOUSSY

Directeur de la photographie Henri DECAE

Musique de Jean CONSTANTIN

Montage de Marie-Josèphe Yoyotte

 

avec

Jean-Pierre LÉAUD

Claire MAURIER

Albert RÉMY

Guy DECOMBLE

Henri VIRLOJEUX

Jeanne MOREAU

Jean-Claude BRIALY

Jacques MONOD

François TRUFFAUT

Georges FLAMANT

Yvonne CLAUDIE

Pierre REPP

Jean DOUCHET

Luc Andrieux

Christian Brocard

Claude MANSARD

Laure Paillette

Robert BEAUVAIS

François Nocher

Serge MOATI

Marius Laurey

Patrick AUFFAY

 

 Sortie le 03 juin 1959

Résumé

 Antoine Doinel est un écolier éveillé, malicieux et turbulent. En compagnie de son ami René, il pratique volontiers l'absentéisme scolaire pour traîner dans les rues et fréquenter les cinémas du quartier de la Place Clichy. Ses parents ne s'entendent pas très bien (il n'est d'ailleurs pas "le fils de son père" et il le sait).

 Il surprend un jour sa mère au bras d'un inconnu. Un soir, il décide de faire une fugue mais elle est de courte durée. Ses parents le récupèrent et la vie de famille semble prendre un nouveau départ, fondé sur la confiance et les bonnes résolutions. Mais cette situation ne dure pas.

 Une injustice scolaire pousse Antoine à faire une nouvelle escapade. Pour se procurer un peu d'argent, il vole (avec la complicité réticente de René) une machine à écrire... qu'il restitue, faute de ne pouvoir la vendre. Surpris par un gardien au moment de cette action de relative honnêteté, il est arrêté. Il connaît la promiscuité d'une salle de commissariat et la tristesse d'une nuit de cellule.

 Il est envoyé dans un centre de délinquance en province, sur la demande de sa mère qui déclare agir pour son bien (la campagne, le bon air...).

 La discipline est rude, l'atmosphère déprimante. Antoine profite d'une sortie sportive pour s'évader. Il court longtemps et se retrouve hors d'haleine, au bord de la mer. Il s'arrête, se retourne, regarde le spectacle d'un air grave. La dernière image se fige sur ce gros plan.