LES COMBINARDS
Comédie de 1964 durée 80' n&b
Réalisation de Jean-Claude Roy, Juan Estelrich et Riccardo Pazzaglia Scénario de Jean-Claude Roy, Jacques Bernard, Juan Estelrich et Louis Emmanuelle Dialogues de Jacques Bernard Directeur de la photographie Pierre Levent Musique de François de Roubaix Montage de Roberto Cinquini et Carlos de los Llanos Décors de Antonio Visone Ingénieur du son René Breteau
avec
Pierre Beltran Peppino De Filippo Aldo Giuffrè Chus Lampreave José Luis López Vázquez Marisa Merlini Liana Orfei José Orjas Théo Peltier Jimmy Pierdor María Luisa Ponte Salvo Randone
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Sortie le 02 février 1966
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Résumé Léo et Claude, « combinards » à l'imagination fertile, s'ingénient à découvrir la recette qui leur permettra de vivre sans travailler. Les faits divers des journaux sont pour eux une source d'inspiration. En Espagne, un paysan a été la victime de deux adroits compères qui ont réussi à lui vendre un tramway de la ville. Léo et Claude se contenteront de vendre des tramways miniatures, dans un parapluie, à la sauvette. A Naples, c'est un malin qui a réussi à camoufler son certificat de sortie de l'hôpital attestant qu'il est atteint d'un mal incurable. La presse, la radio, et la télévision font campagne en faveur de ce père de famille abandonné par l'assistance médicale hospitalière. Cela lui vaut une avalanche de cadeaux de toutes sortes. Mais la supercherie est bientôt démasquée à la suite d'une indigestion du faux malade. Décidément, Léo et Claude doivent trouver mieux. C'est ainsi qu'ils décident de répondre, dans la presse du cœur, aux annonces matrimoniales émanant de jeunes veuves, divorcées ou jeunes filles prolongées à la recherche de l'âme sœur ! Pour chacune, une histoire, un déguisement approprié leur tireront les larmes. et les fonds nécessaires à faire vivre dans l'opulence Léo, Claude et leur astucieuse collaboratrice. Mais à malin, malin et demi. Léo et Claude sont bientôt victimes du chantage au mariage. Et, après une course folle, tout ce joli monde se retrouve sous les verrous. Cependant, la prison est assaillie par une multitude de « cœurs » attendris dont la crédulité et la naïveté dépassent vraiment toute imagination !
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