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BEAUMARCHAIS L'INSOLENT

 

 

Historique de 1995 durée 100' Couleur

 

Réalisation, scénario et dialogues de Édouard MOLINARO

Librement inspiré de l’œuvre inédite de Sacha GUITRY

Co-scénariste et co-dialoguiste Jean-Claude BRISVILLE

Directeur de la photographie Michael EPP

Musique de Jean-Claude PETIT

Montage de Véronique Parnet

 

avec

Fabrice LUCHINI

Sandrine KIBERLAIN

Michel PICCOLI

Jacques WEBER

Claire NEBOUT

Jean-François BALMER

Michel SERRAULT

Jean YANNE

Jean-Claude BRIALY

Martin LAMOTTE

Patrick BOUCHITEY

Judith GODRÈCHE

Évelyne BOUIX

Alain CHABAT

François MOREL

Michel AUMONT

Roland BLANCHE

José GARCIA

Pascal THOMAS

Guy MARCHAND

Isabelle CARRÉ

Claude BRASSEUR

Sandrine Le Berre

Maurice ILLOUZ

Marc DUDICOURT

Dominique BESNEHARD

Robert Sandrey

David GABISON

Bruno Lochet

Séverine Ferrer

Florence THOMASSIN

André Oumansky

Dominic GOULD

Etienne Draber

Manuel BLANC

Jean-Claude DE GOROS

Pierre Gérard

Maka KOTTO

Axelle LAFFONT

Jean-Philippe Daguerre

Niels DUBOST

Nicolas Vayssie

Pierre Lopez

Daniel Villattes

Jeff Bigot

Murray HEAD

Patrice LAFFONT

Jeff NUTTALL

 

 Sortie le 20 mars 1996

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résumé

 Beaumarchais prend à son service le jeune Gudin de la Brenellerie, qui deviendra son conseiller, son biographe, son ami. Horloger, homme de lettres, magistrat, Beaumarchais est aussi grand amateur de femmes, ce qui lui vaut un duel avec un rival, le duc de Chaulnes. Embastillé, puis libéré, il prouve au cours d’un procès retentissant la corruption de ses accusateurs, le comte de La Blache et Goëzman, conseiller au Parlement. À cette occasion il rencontre celle qui deviendra sa troisième épouse, Marie-Thérèse de Willer.

 Acclamé, il est néanmoins déchu de ses droits. Louis XV, sur les instances du prince de Conti et de Sartine, lieutenant-général de la police, lui en promet le rétablissement à la condition qu’il accepte une mission secrète en Angleterre : récupérer des libelles défavorables à la Couronne ainsi que, auprès du chevalier d’Éon, des documents qui doivent désormais disparaître. Ainsi rencontre-t-il Arthur Lee, jeune leader du mouvement pour l’indépendance des États d’Amérique dont il est également un franc partisan.

 À son retour, Louis XV étant mort, il convainc Louis XVI d’intervenir en faveur de la cause des colons américains. Lui-même s’y investit, y compris financièrement, quitte à ne jamais être remboursé, par un commerce d’armes via la société Rodrigue Hortalés. Gudin lui en fait reproche et le rappelle à ses devoirs d’auteur. Depuis le triomphe du «Barbier de Séville», tous attendent son œuvre suivante. «Le mariage de Figaro» lui vaut les foudres du roi mais triomphe auprès d’un public qui applaudit ainsi l’un des actes de naissance de la Révolution française.