AU NOM DE TOUS LES MIENS
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Drame de 1982 durée 145' n&b et Couleur
Réalisation, scénario et dialogues de Robert ENRICO D'après le roman-témoignage de Martin GRAY et Max GALLO Co-scénariste et co-dialoguiste Tony SHEER Directeur de la photographie François CATONNE Musique de Maurice JARRE Montage de Patricia Nény et Sophie Cornu Décors de Jean-Louis Povéda Costumes de Christine Guégan, Paul-André Guérin, Corinne Jorry et Michèle Richer Ingénieurs du son Harrik Maury et Jean Nény
avec Michael YORK
Laura Belsey Lajos Dobák Sandor Forizs Claus Fuchs Aurelia Gogl Gaspar Gombos György Gonda Sándor Halmágyi Zoltan Horti Jenö Horvath Helen HUGHES Florence Humbert Éva Janisch Ferenc Karcag Tibor Kárpáti Antal Konrád Laurent Lopez Wolfgang MULLER A.M. Mutatof Janos Németh Dennis O'Connor Carole Penot Bálint Peto Eugeniusz Priwieziencew Ödön Rubold Lionel Van Den Haute Ferenc Varszegi
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Sortie le 09 novembre 1983
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| Résumé
Un homme raconte... Varsovie, 1939. Comme beaucoup d'autres Juifs polonais, la famille Grayewski va être prise dans l'horrible tourmente de l'entrée des Nazis en Pologne. Ces derniers concentrent les Juifs dans un ghetto qui deviendra tristement célèbre. Mais les événements vont se précipiter : les Allemands "nettoient" littéralement le ghetto en envoyant la majorité des Juifs dans le camp de concentration de Treblinka. Martin lui-même y part. Sa mère et ses deux jeunes frères vont y être massacrés. Martin, qui a perdu la trace de son père, parvient à fuir Treblinka, et à le retrouver à Varsovie, où les Juifs encore présents se sont désormais mobilisés et armés contre les Allemands. Le père de Martin est tué dans l'insurrection... Mais, à partir de 1944, la roue tourne : l'armée russe repousse les Nazis, et le jeune Martin, sous l'uniforme russe, entrera avec les vainqueurs à Berlin. Deux ans plus tard, il partira pour New York où vit sa grand-mère, et se mariera avec une Hollandaise, Dina. Il ira finalement vivre dans le sud de la France avec sa femme et ses quatre enfants; mais le malheur le poursuit : Dina et les quatre enfants périssent dans un incendie de forêt. Seul après la tourmente, Martin se souviendra encore une fois des paroles de son père pendant la guerre : il faut avant tout survivre...
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