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L'HOMME A L'Imperméable

 

   

 

Comédie de 1956 durée 106' n&b

 

Réalisation, scénario et dialogues de Julien DUVIVIER

D’après le roman de James Hadley CHASE

Co-scénariste et co-dialoguiste René BARJAVEL

Directeur de la photographie Roger HUBERT

Musique de Georges VAN PARYS

Montage de Marthe Poncin

 

avec

FERNANDEL

Bernard BLIER

Judith Magre

Jean RIGAUX

Jacques DUBY

Julien BERTHEAU

Claude SYLVAIN

Paul Demange

Cadet Rivers

Bernard Musson

Pierre Duncan

Luce Fabiole

Louisette Rousseau

Mireille PERREY

Albert DINAN

Charles Lemontier

Marcel Rouzé

Raoul Marco

Georges Bever

Gisèle GRANDPRÉ

Franck Maurice

Rudy Lenoir

Alfred Goulin

Lucien GUERVIL

Marcel Loche

Max DEJEAN

Jean-Marie Robain

Jacques Desagneaux

Louis Lalanne

Jean-Louis Le Goff

Gaston Rey

Betty Beckers

Marcelle Féry

Guy Henry

Olivier Darrieux

Edith GEORGES

Laure Paillette

Catherine Fath

Georgette Peyron

Robert Blome

Dimitri Dineff

Jimmy Perrys

Armande NAVARRE

Pierre SPIERS

Bob MURRAY

 

 Sortie le 22 février 1957

 

 

 

 

Résumé

 Sa femme partie en province pour une affaire de famille, Albert Constantin, clarinettiste au Châtelet, se retrouve seul et désemparé devant les tâches quotidiennes. Blondeau, un ami de l’orchestre, le pousse à en profiter et à rendre visite à une choriste, Eva, que l’on dit très… accueillante. Il hésite puis se rend chez elle, à Montmartre, vêtu d’un imperméable. Dans l’escalier, il est abordé par un personnage douteux, Raphaël, qui semble surveiller la belle. Constantin entre chez Eva : elle lui tombe dans les bras, morte, un poignard planté dans le dos ! Notre homme fuit, affolé.

 Peu après, il reçoit la visite de Raphaël, qui réclame de l’argent pour se taire. Il ne reste plus à Constantin qu’à trouver le vrai coupable, et à empêcher le maître-chanteur de nuire, le tout discrètement, sans avertir la police qui, elle, recherche «l’homme à l’imperméable». Bien sûr, il faut avoir terminé avant le retour de l’épouse voyageuse.

 Il y parviendra de justesse, après être passé par toutes les angoisses, avoir côtoyé des prostituées dont Florence, qui a tué Eva par jalousie car elle intéressait trop le pâle Maurice, son souteneur et amant en titre et s’être retrouvé au milieu de divers truands, parfois américains, tandis que les cadavres tomberont en pluie serrée autour de lui, témoin involontaire d’une dizaine de règlements de compte et autres crimes. Quand son épouse revient, tout semble en ordre : il est à sa place dans l’orchestre. Tout au plus a-t-il adopté un petit chien, que la musique incommode et qui aboie, «orphelin» de son maître, Raphaël, mort lui aussi dans la tourmente.