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L'HOMME AU MASQUE D'OR

 

 

Aventure  de 1990

 

Réalisation, scénario et dialogues de  Éric DURET

Co-scénariste, co-dialoguiste Alain GILLOT

Directeur de la photographie Ennio GUARNIERI

Musique de Jean-Pierre FOUQUEY

Chanson de fin interprétée par ENZO ENZO

Montage de Isabelle Devinck

 

avec

Jean RENO

Marc DURET

Patrick FONTANA

Sylvain SALNAVE

Marlee Matlin

Xavier MASSE

Quintin BULNES

Luis DE ICAZA

Eduardo NORIEGA

Xavier MARC

Pedro ALTAMIRANO

 

 Sortie le 02 janvier 1991

Résumé

 Le père Gaetano se dépense sans compter pour recueillir toujours plus de petits orphelins dans sa paroisse de Santo Domingo à San Luis de la Paz, au nord du Mexique.

 Pour collecter l’argent nécessaire, il se livre régulièrement à des combats de catch, souvent loin, revêtu d’une cape et d’un masque d’or.

 C’est au retour de l’un d’eux qu’il fait la connaissance de Pedro, qui chemine vers les États-Unis dans l’espoir d’une autre vie. L’amitié unit vite les deux hommes, et Pedro se propose comme chauffeur et manager du «prêtre qui cogne». Celui-ci veut devenir professionnel, pour gagner davantage et couper court aux arguments de l’évêché, selon qui l’orphelinat coûte trop cher.

 Il faut pour cela en passer par le bon vouloir de Don Corrado, grand patron du «syndicat», qui finalement prend le Padre sous sa protection et va lui permettre de prévoir l’achat d’un village abandonné. Les papiers signés, les travaux de rénovation s’engagent. Pedro y livre de bon cœur tout son savoir-faire, et ne reste pas indifférent au charme de Maria, sœur de l’abbé.

 Mais l’employé de la direction du territoire n’a pas enregistré la vente. Le père Gaetano, Maria, Pedro et toute la bande de gamins assiègent alors le bureau de l’administration jusqu’à ce que M. De Lucas, ému par tant de détermination, valide l’acte. Le père Gaetano multiplie les combats, contre de redoutables adversaires : le Rapace, puis l’Hawaïen.

 Une violente tempête s’abat sur toute la région, provoquant pannes d’électricité et inondations. Malgré l’état des routes, le Padre roule toute la nuit vers le village où tous, malgré les éboulements, sont sains et saufs. Le soleil revenu, tous l’entoureront pour une grande photo de famille.