Accueil Les Réalisateurs Les Films Les Acteurs Les Actrices

UN HOMME EST MORT

 

       

 

Policier de 1972 durée 104' Couleur

 

Réalisation de Jacques DERAY

Scénario et dialogues de Jean-Claude CARRIÈRE

et Jan Mac Lellan HUNTER

Directeur de la photographie Silvani IPPOLITI

Musique de Michel LEGRAND

Montage de Henri Lanoë

 

avec

Jean-Louis TRINTIGNANT

Michel CONSTANTIN

Jacques RISPAL

Lionel VITRANT

ANN-MARGRET

Roy SCHEIDER

Angie DICKINSON

Umberto ORSINI

Giorgia ENGEL

Ted DE CORSIA

Carlo de MEJO

Felice ORLANDI

 

Sortie le 18 janvier 1973

Résumé

 A peine arrivé à Los Angeles, Lucien Bellon honore son contrat en remboursement d'une dette de jeu envers son ami Antoine : l'exécution de Victor Kovacs, milliardaire impliqué dans des affaires douteuses. De retour à l'hôtel, sa réservation est annulée et ses affaires ont disparu. Dans la rue, il doit échapper au tir d'un tueur lancé à ses trousses en se réfugiant de force chez une jeune femme, Jane Barnes, seule avec son fils, d'où il téléphone à Antoine, à Paris. Après que le tueur, Lenny, ait tué à sa place un jeune mystique, il contacte, sur les conseils d'Antoine, l'entraîneuse Nancy Robson. Celle-ci lui fait procurer un nouveau passeport par un de ses amis, Kart, chauffeur de taxi, que Lenny vient froidement abattre chez lui.

 Ainsi prêt à. rentrer en France, Bellon y renonce au dernier moment: il n'y sera pas davantage en sécurité tant que ses " employeurs " auront décidé de le supprimer. Le fait que son signalement soit l'inverse de celui communiqué à la police par l'épouse et le fils de Kovacs prouve bien qu'ils sont, eux, les commanditaires du meurtre. Après avoir piégé Lenny, il l'abat devant la résidence des Kovacs et le laisse là " comme un message ", selon l'expression du policier Anderson qui, dès lors, lui aussi, comprend tout. Le jour de la cérémonie funéraire, Antoine débarque, flanqué d'un acolyte, et, dans le carnage déclenché, abat Alex Kovacs dans un cercueil avant de tomber sous les balles de la police. Au volant du corbillard, Bellon parvient à s'enfuir, blessé, vers son agonie proche. Nancy l'attendra en vain.