LE CRI DU CORMORAN LE SOIR AU-DESSUS DES JONQUES
Comédie de 1970 durée 85' Couleur
Réalisation et dialogues de Michel AUDIARD D'après le roman de Evan HUNTER Adaptation de Jean-Marie POIRé Directeur de la photographie Pierre Petit Musique de Eddie VARTAN
avec
|
Sortie le 19 février 1971 |
Résumé
Alfred Mulanet perd beaucoup aux courses de chevaux. Un jour, rentrant chez lui en auto-stop, il est enlevé par les truands à la solde de K., qui trouvent en lui le cadavre idéal à faire passer dans un cercueil vers Istanbul, revêtu d'une drôle de veste. Mais le cercueil est volé par un gang rival, celui de Kruger, qui s'étonne- de ne pas trouver l'argent qui devait y être. Mulanet, lui, sait où est l'argent : dans la doublure de la veste. Mais il n'en parle qu'à Mirabelle, la maîtresse de son nouveau ravisseur. Ils iraient mener la grande vie tous les deux, en amoureux, si les coupures n'étaient des billets de monopoly... Et Mulanet repart en auto-stop. K., que l'on croyait mort, réapparaît et cherche à récupérer le veston. Il lui faut pour cela soudoyer un commissaire de police afin qu'il libère Mulanet, entre-temps interpellé par les agents Loulou et Marcel pour défaut de pièces d'identité. Mulanet en profite pour échapper à tout le monde. Kruger subodore que le veston recèle malgré tout quelque chose d'important, les billets de monopoly n'étant qu'un leurre, mis en place par K. Il lui faut donc, à lui aussi, retrouver Mulanet, qui court toujours avec le veston et manque plusieurs fois de le perdre, retrouvant systématiquement sur sa route le même chauffeur de taxi, Émile Dubuisson. Et voilà Mulanet, repris par K. et son fidèle Purcell, à nouveau en route pour Istanbul. Seule l'arrivée de Kruger et de ses sbires lui permet de provoquer la guerre des gangs et de pouvoir rejoindre son épouse Irène en imitant le cri du cormoran. Irène qui, ne croyant plus aux rêves mirifiques de son fantasque époux, ne trouve rien de mieux que de jeter le veston du haut du pont !
|
|
|
|
|
|