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LES APPRENTIS

 

 

Comédie dramatique de 1995

 

Réalisation, scénario et Dialogues de Pierre Salvadori

Co-scénaristes  Philippe HAREL, Franck Bauchard,

Marc Syrigas et Nicolas Cuche

Directeur de la photographie Gilles Henry

Musique de Philippe EIDEL

Montage de Hélène Viard

 

avec

François CLUZET

Guillaume DEPARDIEU

Judith HENRY

Marie TRINTIGNANT

Philippe HAREL

Serge RIABOUKINE

Zinedine Soualem

Élisabeth KAZA

Philippe Duquesne

Hélène ROUSSEL

Bernard YERLES

Claire LAROCHE

Julien Cafaro

Claude AUFAURE

Philippe GIRARD

Philippe Duclos

Jean-Pol BRISSART

Évelyne ISTRIA

Cécile Caillaud

Blandine PÉLISSIER

Marie-Claude MESTRAL

Sophie Mounicot

Ariane Deviègue

Maryvonne SCHILTZ

Gérald Weingand

Thierry Balcon

Delphine Bachy

Jean-Michel Julliard

Michel Lebret

Jean-Baptiste MARCENAC

Marie Riva

 

 Sortie le 20 décembre 1995

Résumé

 Antoine Parent rêve d'être reconnu comme auteur de théâtre. En attendant, il écrit à la pige quelques articles pour une revue d'arts martiaux. Séparé de Valérie et sans le sou pour se loger, il en vient à cohabiter avec Fred dans l'appartement prêté par un jeune snob, Benoît.

 Mais un jour, au bout de cinq ans, la propriétaire, grand-mère de ce dernier, demande à récupérer son bien pour le revendre. Déjà l'agence immobilière fait visiter les lieux à des clients, surprenant les deux jeunes gens au réveil. Sylvie veut bien héberger Antoine, dont elle fut la compagne avant Valérie, mais sans Fred.

 Solidaire, Antoine cherche ailleurs. Un ami, Nicolas, leur trouve un logement, mais la location est assortie d'une reprise de 25 000 francs. Au grand étonnement de Fred, Antoine accepte. Il n'a qu'une idée en tête : dérober le contenu du coffre de la revue qui l'exploite. Les deux minables casseurs réussissent leur coup, mais Antoine a oublié sur place un indice qui le désigne : son porte-clés. Il faut rembourser cet argent, qui constituait une caisse noire, d'où l'absence de plainte.

 Les voilà à nouveau à la rue, et provisoirement dépannés par Nicolas. À défaut d'avoir su réussir les photographies que la belle Agnès attendait de lui, Fred se décide à lui avouer ses sentiments. Mais elle dit ne pouvoir tromper son compagnon Patrick, ou alors à une seule condition : que celui-ci puisse être le spectateur de leurs ébats ! D'abord interloqué, Fred se range à cette proposition, prêt à vivre cette expérience à la fois tendre et cocasse.

 Après avoir perdu son nouvel emploi de concepteur de mots croisés, Antoine, lui, déprime, au point d'être admis en hôpital psychiatrique. Il en sort au bout de quelques semaines, radicalement transformé, résolu à mettre un terme à cette existence d'expédients et à couper toute relation avec Fred. Celui-ci n'a désormais d'autre souci que de retrouver la confiance de son ami. Sachant l'importance qu'avait Valérie dans sa vie, il cherche naïvement à la faire revenir. Mais Valérie s'est mariée. C'est son ancienne colocataire, Lorette, qui vient au rendez-vous, prête à revoir Antoine régulièrement.