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L'HOMME A LA BUICK

 

 

Policier de 1966 durée 93' n&b

 

Réalisation et scénario de Gilles GRANGIER

D’après le roman de Michel LAMBESC

Dialogues de Henri JEANSON

Directeur de la photographie de Jean TOURNIER

Musique de Michel LEGRAND

Montage de Jacqueline Sadoul

 

avec

Danielle DARRIEUX

Fernandel

Jean-Pierre MARIELLE

Mario DAVID

Christian BARBIER

Michael LONSDALE

Claude PIÉPLU

Bernard DHÉRAN

Jacques Marin

Yvette ETIÉVANT

Georges DESCRIÈRES

Robert Berri

Albert Dinan

Jean Rupert

AMARANDE

Denise Bailly

Laurence Badie

Christian Brocard

Pierre Mirat

Edmond Ardisson

Alain Nobis

Yvonne Dany

Max Amyl

Claire DUHAMEL

Françoise Delbart

Laure Paillette

Paul Villé

Jean Daniel

Raymond Jourdan

Raoul Curet

Gilbert Servien

Claude Salez

Henry Czarniak

Roger Rudel

Marcel Bernier

Alain NOËL

Jean-François MAURIN

Eric Donat

 

 Sortie le 19 janvier 1968

Résumé

 Au volant de sa puissante Buick, Armand Favrot ne passe pas inaperçu dans les rues d’Honfleur, où il vient d’acquérir une superbe propriété. Les notabilités locales, le notaire Dodelin et son épouse, l’assureur de La Mothe et, surtout, la charmante madame de Layrac, deux fois veuve, ont tôt fait d’adopter ce riche Parisien qui se prétend homme d’affaires. En réalité, c’est un trafiquant ! Mais du genre discret… En effet, sous prétexte d’accompagner des petits citadins en vacances de neige, Favrot se rend régulièrement en Suisse, où il prend livraison de diamants qu’il dissimule dans le boîtier d’un transistor et revend, très cher, à son retour à Paris.

 Quel douanier irait suspecter de trafic illicite ce brave homme à la voiture pleine d’enfants ? Le respectable M. Armand est aussi propriétaire, près de l’Étoile, d’un hôtel où il réunit, pour monter des coups, la petite bande de truands dont il est le chef : Lucien et Paulette, gérants de l’hôtel; Maxime et «La Paluche», les moins malins de l’équipe, mais les plus vicieux; «le Marquis», bellâtre hâbleur et raffiné qui rêve d’un casse au Ritz ! On se contentera, cette fois, d’une bijouterie, car Armand a un besoin urgent de liquidités : Michèle de Layrac, devenue sa maîtresse, a en effet entrepris de décorer, avec quel luxe !, sa résidence d’Honfleur. Le hold-up se déroule comme prévu jusqu’à ce qu’un employé déclenche l’alarme. En fuyant, «le Marquis» reçoit une balle dans l’épaule; Armand le cache chez lui, à Honfleur, où un curieux inspecteur, Farjon, vient l’interroger sur son emploi du temps et ses relations avec la veuve de Layrac.

 Se croyant soupçonné, Favrot se hâte de «fourguer» les bijoux volés à un receleur qui, peu après sa visite, est assassiné et dévalisé… par Maxime et «La Paluche», qu’Armand démasque au moment même où la police vient les cueillir. Armand échappe de justesse au coup de filet et retourne à Honfleur. Il y découvre une Michèle parfaitement au courant de ses activités car, en son absence, elle a identifié «le Marquis» comme un des complices du hold-up de la bijouterie ! Mais, coup de théâtre, c’est elle que Farjon vient arrêter : elle a empoisonné ses deux maris… Armand respire ! Un matin, le bon M. Favrot s’apprête à retourner en Suisse avec un nouveau chargement de gamins. Farjon surgit et l’interpelle : Maxime et «La Paluche» l’ont dénoncé…