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LE ROI DES BRICOLEURS

 

 

Comédie de 1976 durée 80' Couleur

 

Réalisation et scénario de Jean-Pierre MOCKY

Collaboration à l'adaptation André RUELLAN et Michel SAINTOURENS

Directeur de la photographie Marcel WEISS

Musique de Éric DEMARSAN et SIM

 

avec

SIM

Michel SERRAULT

Jacques LEGRAS

Dominique ZARDI

Henri ATTAL

Maurice Devienne

Luc DELHUMEAU

Thérèse ASPAR

Maurice VALLIER

Guy Denancy

Gérard Hoffman

Jean-François Dupas

Paulette FRANTZ

Gilbert Servien

Gilbert Guillaud

Jean-Claude REMOLEUX

Pierre BOLO

Jean CHERLIAN

Robert Nogaret

Alex Lacast

Gillian GILL

René Marquant

Jean-François Kopf

Gérard Cuvier

Michel FRANCINI

Dominique Hulin

Albert Lerner

Daniel Léger

René Douglas

Claude Beauthéac

Roger DELCROS

Antonin MAYOR

 

 Sortie le 23 février 1977

Résumé

 Goumic, industriel en layettes dans le nord de la France, sa femme Anne et son beau-frère, Malju, ont hérité d'une grande maison délabrée entourée d'un parc, dans une station thermale. Ils décident de faire restaurer leur bien pour le vendre à un ministre qui souhaite posséder une résidence dans la station afin de guérir son acné. Goumic et Malju confient donc leurs travaux à l'entreprise Bordin. Hélas pour eux, Bordin - qui est également le maire de la ville - s'intéresse aussi à leur propriété, car il souhaiterait en faire un espace attractif doté d'un théâtre de verdure, ce qui permettrait à la municipalité de réaliser d'importants bénéfices.

 L'intérêt de Bordin est donc de faire traîner les travaux pour contraindre Goumic et Malju à lui céder la maison à vil prix. Talonnés par leur acheteur, ces derniers doivent agir au plus vite : ils recrutent eux-mêmes des ouvriers, mais tombent d'abord sur des bons à rien, ivrognes, paresseux et autres maladroits qui provoquent des catastrophes en série. Lorsque Malju parvient, enfin, à trouver des ouvriers compétents, Bordin le dénonce aux autorités pour utilisation de travailleurs " au noir".

 Grâce à sa gentillesse, Malju s'assure la collaboration de quelques débrouillards qui arrivent, en un temps record et par des procédés peu orthodoxes basés sur le " système D ", à donner à la maison un air de fête, mais d'une durabilité incertaine... Par cette ruse, celle-ci semble effectivement terminée. Après l'avoir visité, le ministre, conquis, l'achète. Ignorant que la vente vient de se réaliser, Bordin fait sauter une partie de la maison. Malheureusement pour lui, c'est au nouveau propriétaire, le ministre, que Bordin aura affaire : il disposera de dix jours pour remettre l'habitation à neuf..