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PASSAGE POUR MARSEILLE

 

 

Drame de 1944 durée 75' n&b

 

Réalisation de Michael Curtiz

D'après l'œuvre de Charles Nordhoff et James Norman Hall

Scénario de Casey Robinson et Jack Moffitt

Directeur de la photographie James Wong Howe

Musique de Max Steiner

Montage de Owen Marks

Décors de George James Hopkins

Costumes de Leah Rhodes

Ingénieur du son Everett A. Brown

 

avec

Humphrey Bogart

Michèle Morgan

Victor Francen

Claude Rains

Philip Dorn

Sydney Greenstreet

Peter Lorre

George Tobias

Helmut Dantine

John Loder

Vladimir Sokoloff

Eduardo Ciannelli

Corinna Mura

 

Sortie le 06 juillet 1977

Résumé

 Pendant la dernière guerre, une escadrille française, commandée par le capitaine Freycine, basée en Angleterre et remarquablement camouflée sous les dehors d'une paisible ferme, lance avec acharnement raid après raid sur l'Allemagne. Un correspondant de guerre remarque la ténacité d'un homme aux traits durs, Jean Matrac ; Freycine évoque alors un passé récent.

 Il est sur un bateau, recueille cinq hommes qui gisent sur une barque et gagne leur confiance au point que Matrac et ses compagnons lui avouent leur évasion de Cayenne ; celle-ci n'a pu se faire qu'avec la complicité d'un vieux patriote à qui ils ont promis de rallier la France afin de se battre.

 C'est alors que la radio annonce l'armistice et la création du gouvernement de Vichy. Le capitaine du navire, fervent combattant, décide de se dérouter et de rallier l'Angleterre, mais Duval, sympathisant vichyssois, s'empare du navire.

 Grâce au dévouement des forçats, le navire est repris par son capitaine et parvient en Grande-Bretagne après avoir essuyé l'attaque d'un avion de chasse allemand qui fait deux victimes : un bagnard, Marius, et le mousse, qui meurt en criant « Vive la France » et en demandant à Matrac de tuer tous les Allemands.

 Matrac se bat cependant pour une France libre, une France héroïque. Au cours d'une mission, Matrac trouve la mort et son pilote le ramène à la base sans avoir fait, comme d'habitude, le détour qui les faisait voler, pour un bref salut, au-dessus de la maison où, patiemment, l'attendent son fils et sa femme.