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LES DIMANCHES DE VILLE D'AVRAY

Oscar du meilleur film étranger USA 1963

 

Comédie dramatique de 1961 durée 110' n&b

 

Réalisation, scénario et dialogues de Serge Bourguignon

Co-scénariste Antoine Tudal

Co-dialoguiste Bernard Eschassériaux d'après son œuvre

Directeur de la photographie Henri Decaë

Musique de Maurice Jarre

Montage de Léonide Azar

Décors de Bernard Evein

Costumes de Marie-Claude Fouquet et Jacques Heim

Ingénieurs du son Jean Nény et Robert Teisseire

 

avec

Hardy Krüger

Nicole Courcel

Patricia Gozzi

Daniel Ivernel

Anne-Marie Coffinet

René Clermont

Michel de Ré

France Anglade

Florence Blot

Serge Bourguignon

Alain Bouvette

Maurice Garrel

Lisette Lebon

Denise Péron

Antoine Tudal

Roger Trapp

Pierre Mirat

Malka Ribowska

Paul Bonifas

Martine Ferrière

Gilbert Edard

Jacques Robiolles

Raymond Pélissier

André Oumansky

Dominique Maurin

Jocelyne Loiseau

Albert Hugues

Renée Duchateau

Jacques Prévot

Jacques Tessier

 

Bibiane Stern

 

Sortie le 23 novembre 1962

Résumé

 Devenu amnésique à la suite d'un accident d'avion en Extrême-Orient, Pierre a été soigné et recueilli par son infirmière, Madeleine, qui s'est attachée à lui et lui a consacré toute sa vie et sa tendresse de femme seule.

 Lui qui vit dans un monde à part, sans souvenirs et sans conscience précise, recevra un jour un choc émotif violent, devant une petite fille qui pleure dans la gare de Ville d'Avray. Une surimpression se fait alors dans sa mémoire défaillante, avec le visage d'une autre enfant, défigurée par la peur, qu'il a sans doute tuée dans le bombardement en piqué où il a autrefois failli perdre la vie.

 Dès lors, une force cachée l'oblige à suivre l'enfant triste jusqu'à la pension où des parents indignes vont bientôt l'abandonner ; et il sera amené, par les circonstances et pour la consoler, à se faire passer pour son père et à la faire sortir chaque dimanche.

 Entre la fillette et le garçon sans passé s'établit alors une tendre complicité qui les aide à vivre mais dont l'aspect enfantin devient bientôt un objet de scandale pour l'entourage. Madeleine, dont l'amour généreux sera seul à défendre des apparences suspectes, n'évitera pas le drame qui détruira ce bonheur si fragile, où deux enfants perdus s'étaient retrouvés et compris.