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JAMAIS DEUX SANS TROIS

 

 

Comédie de 1951

 

Réalisation et adaptation de André BERTHOMIEU

Scénario et dialogues de André HORNEZ

Co-scénariste Michel DULUD

Directeur de la photographie Fred LANGENFELD

Musique de Bruno COQUATRIX

Montage de Louisette Hautecoeur

 

avec

Roger NICOLAS

Marthe MERCADIER

Alice TISSOT

Maurice BIRAUD

Georges LANNES

Mona GOYA

Jean TOULOUT

Paul FAIVRE

Pierre Ferval

Charles BOUILLAUD

Robert ROLLIS

Michel Dancourt

Blanche Denège

Claude VÉGA

Nicolas Amato

René Hiéronimus

Maurice DORLEAC

Gaston Garchery

Marcel Meral

Jacques Vertan

Laure Paillette

Doris Marnier

Marie-Reine Kergal

Georges BACONNET

Charles RIGOULOT

 

 Sortie le 13 février 1952

Résumé

 Propriétaire de l’auberge « Aux Trois Assiettes » dans la petite localité de Villefleury, Émile Benoît est le père de trois jumeaux dont les aspirations sont fort différentes : Henri est comptable, l’efféminé Camille, couturier, tandis que Bernard qui, selon les vœux de son père, doit reprendre le restaurant familial, ne rêve que de théâtre.

 Pour lui faire apprendre le métier de restaurateur, son père l’envoie en stage au Mondial Hôtel à Paris.

 Bernard quitte donc celle qu’il aime, Hélène, la fille de la baronne Flouc de Lavauzelle, pour s’essayer à divers emplois, réceptionniste, caviste, barman et maître d’hôtel, tout en suivant les cours prodigués par Roberval, un comédien de troupe itinérante, qui lui fait étudier le rôle de Rodrigue dans “Le Cid”.

 Pendant ce temps, Mouthon, commanditaire d’une grosse entreprise, tente de racheter à vil prix plusieurs terres de Villefleury pour y construire un aérodrome.

 Il n’essuie que deux refus sans appel : ceux de la baronne de Lavauzelle et du père Benoît.

 Informé par sa maîtresse, l’actrice Rita Malaquais, que Bernard admire, de l’ambition du jeune stagiaire, Mouthon met un plan au point : grâce à ses relations dans les milieux du spectacle, il va favoriser sa carrière au théâtre afin qu’il abandonne l’idée de succéder à son père, contraignant ainsi Benoît à vendre son auberge.

 Bernard fait des débuts désastreux dans “Le Cid”. Après deux autres tentatives aussi catastrophiques de danseur au music-hall et de speaker à la radio, il sera contraint de renoncer à ses ambitions artistiques. Il reprendra le restaurant familial, épousera Hélène et aura lui aussi des triplés.