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UN FLIC

 

   

 

Policier de 1971 durée 98' Couleur

 

Réalisation et scénario de Jean-Pierre MELVILLE

Directeur de la photographie Walther WOTTITZ

Musique de Michel COLOMBIER

Montage de Patricia Nény

Décors de Théobald Meurisse

Costumes de Colette Baudot

Ingénieur du son Jean Nény

 

avec

Alain DELON

Catherine DENEUVE

André POUSSE

Paul CRAUCHET

Jean DESAILLY

Simone VALERE

Henri MARTEAU

Roger FRADET

Jacques GALLAND

Philippe Gasté

Dominique Zentar

Jean-Pierre POSIER

Pierre Vaudier

Léon Minisini

Catherine Rethi

Jacques LEROY

Valérie Wilson

Stan Dylik

Michel Fretault

 

Michael CONRAD

Richard CRENNA

Riccardo CUCCIOLLA

Georges Florian

Louis Grandidier

Jako Mica

Gene Moyle

Jo Tafanelli

Nicole Témime

 

 Sortie le 25 octobre 1972

Résumé

 Un hold-up a lieu dans une banque; l'un des gangsters est blessé. L'argent sera enterré dans un champ, le blessé amené dans une clinique. De son côté, Edouard Coleman, jeune commissaire, enquête dans le " milieu". Il retrouve ainsi son ami Simon, propriétaire d'une boîte de nuit, et son amie Cathy, que le policier aime lui aussi. Mais Simon est également un voleur et un trafiquant de drogue, marchandise qu'il écoule grâce à Louis Costa.

 Après avoir résolu plusieurs affaires, Coleman est chargé de retrouver les responsables du hold-up. Ceux-ci organisent un autre coup audacieux: dévaliser un convoyeur de drogue concurrent, à bord du train Paris-Hendaye!

 Coleman a vent du projet, mais laisse l'opération se dérouler, espérant tirer les marrons du feu à l'arrivée. Mais Simon - car c'est bien lui l'auteur des deux coups de main s'est échappé du train en hélicoptère.

 Coleman, qui l'a démasqué, se trouve placé devant un grave dilemne: fermer les yeux, par amitié pour Simon, ou arrêter celui-ci? Le devoir du policier l'emporte sur ses sentiments: après avoir laisser se suicider Paul Weber, sous-directeur de la banque et complice de Simon, il tend une souricière aux Champs-Élysées et, au petit matin, abat son ami. " Il ne se serait pas suicidé ", déclara-t-il en guise d'oraison funèbre.