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SANS MOBILE APPARENT

 

    

 

Policier de 1971 durée 100' Couleur

 

Réalisation, scénario et dialogues de Philippe LABRO

D’après le roman « Ten plus one » de Ed McBAIN

Co-scénariste et co-dialoguiste Jacques LANZMANN

Directeur de la photographie Jean PENZER

Musique de Ennio MORRICONE

Montage de Nicole SAUNIER et Claude BARROIS

Décors de André Hoss

 

avec

Jean-Louis TRINTIGNANT

Dominique SANDA

Paul CRAUCHET

Jean-Pierre MARIELLE

Stéphane AUDRAN

Jean-Jacques DELBO

Philippe LABRO

André FALCON

Sacha DISTEL

Michel BARDINET

Gilles SEGAL

Jean-Claude REMOLEUX

Pierre Dominique

 

Laura ANTONELLI

Carla GRAVINA

Erich SEGAL

Alexis SELLAN

 

Sortie le 15 septembre 1971

  Résumé

 À Nice, Tony Forest et Pierre Barroyer sont tour à tour assassinés d’une balle en plein front tirée par un fusil à lunette. L’inspecteur Carella ne décèle aucun mobile apparent. Le seul lien entre les deux meurtres réside en la personne de l’astrologue Hans Kleinberg, qui officiait comme passeur des fonds de l’une et l’autre victimes vers des comptes en Suisse. Kleinberg est lui aussi assassiné. La seule piste pour Carella est le carnet intime que lui a remis Sandra, belle-fille de Forest, où ce dernier notait ses rendez-vous avec ses nombreuses maîtresses. Y figurent le nom et le numéro de téléphone de Jocelyne Rocca, qui accepte de se rendre chez Carella, persuadée que cet ancien amant est revenu à de plus tendres sentiments à son égard. Mais le policier ne s’intéresse qu’à son enquête. Déçue, la jeune femme repart, avant de s’écrouler en bas de l’immeuble, frappée d’une balle en pleine poitrine. Carella repère aussitôt la fenêtre, de l’autre côté du port, où est posté le tireur. Il court à toutes jambes mais arrive trop tard.

 C’est à nouveau par Sandra que l’enquête est relancée. Elle répète au Théâtre de Verdure, sous la direction de Palombo, directeur du centre culturel universitaire, une pièce écrite par celui-ci huit ans auparavant en hommage à celle dont il était platoniquement amoureux, Juliette Vaudreuil. Grâce à un document retrouvé par Sandra, Carella parvient à établir que les quatre victimes, qui s’étaient connues à l’université, ont été abattues dans l’ordre de leur entrée en scène lors de la création de la pièce.

 Ainsi parvient-il in extremis à assurer la protection de Julien Sabirnou, animateur d’une émission-jeu télévisée, le «Mysterobjet», qui se savait cinquième sur la liste. Hélène Dumont, elle aussi en danger, évoque auprès de Carella un pan du passé aux mœurs troubles du petit groupe, dont Juliette fut la victime traumatisée. Le mari anglais de celle-ci, Perry Rupert-Foote, s’avère être l’auteur des meurtres. Menacé, Carella doit l’abattre, avant de démissionner, lassé de tant de sang.