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LE PETIT GARÇON DE L'ASCENSEUR

 

 

Comédie dramatique de 1961

 

Réalisation et scénario de Pierre GRANIER-DEFERRE

D’après le roman de Paul VIALAR

Co-scénariste Daniel BOULANGER

Dialogues de Louise de VILMORIN

Directeur de la photographie Nicolas HAYER

Musique de Georges DELERUE

Montage de Jean Ravel

 

avec

Alain DECOCK

Louis SEIGNER

Marcel DALIO

Lucien NAT

Jacques MONOD

Maurice BIRAUD

Paul Mercey

Michel ETCHEVERRY

Michel de RÉ

Jean LANIER

Robert Porte

Robert ROLLIS

René Bourbon

Jean Solar

Jany Clair

Richard SAINT-BRIS

Daniel BOULANGER

VAN DOUDE

Dominique Rozan

Sylvia SORRENTE

Dominique Lion

Alain FRANCO

Mireille NÈGRE

 

 Sortie le 06 avril 1962

Résumé

 Jules Ansionnaz, quatorze ans, vient d’être embauché comme liftier au Grand Palace, à Monaco. Sa mère, avant de mourir, se l’était fait promettre par M. Anselme qui, tout en étant très paternel envers son protégé, ne s’en montre pas moins exigeant et pointilleux. Au bout d’un an, le grand ascenseur n’a plus aucun secret pour Jules, qui s’est acquis la complicité amicale d’Antonio le maître d’hôtel, de Mireille la jeune camériste ou de clients réguliers comme le fantasque Max Caro.

 Le grand regret de Jules est d’être le seul membre du personnel à n’avoir pas accès aux chambres et notamment à cette suite princière qui le fait tant rêver. Or, justement, la direction organise un concours de slogans, dont le prix consiste en un week-end dans la… suite princière. Le jury s’accorde sur deux slogans gagnants. Tous deux ont pour auteur… Jules Ansionnaz. Consternation du directeur de l’hôtel, Maillet, qui ne peut envisager d’accorder sa suite à un membre du personnel. L’huissier est strict : Jules y a droit, comme n’importe qui d’autre.

 On ne peut le faire renoncer qu’en échange d’un dédommagement financier substantiel. Mais Jules n’en démord pas : il veut son week-end dans la suite. Le jury décide alors de désigner un autre slogan. L’auteur est encore… Jules Ansionnaz ! Cette fois, plus d’échappatoire. Mais Jules doit s’engager à garder l’anonymat et la plus grande discrétion. Ses yeux émerveillés découvrent les fastes de la suite princière. Fort de ses nouveaux et éphémères privilèges, il se fait servir un plantureux repas auquel il convie Mireille, en cachette de M. Anselme et d’Antonio, du reste vite excédés par ses exigences. Remis d’une indigestion, il passe le dimanche après-midi en ville avec Mireille, qui aimerait danser. Il prend ombrage de la voir courtisée par des grands et lui fait promettre de venir le rejoindre le soir pour le dîner.

 Mais au dernier moment, elle se laisse attirer par la voiture de sport des trois jeunes gens. Déçu, Jules n’a plus goût à son rêve et ne profite même pas de sa deuxième nuit dans la suite, qui dès le lundi doit être occupée par McFersen, le magnat des ascenseurs. Or, précisément, c’est ce jour-là que l’ascenseur tombe en panne. Jules s’extrait de la cage en compagnie de McFersen. Il le conduit à la machinerie, qu’il connaît aussi bien que son inventeur. Lequel est ravi de sa rencontre avec le jeune prodige. Mais au moment de s’engager vers un nouvel avenir, Jules dort profondément.