Accueil Les Réalisateurs Les Films Les Acteurs Les Actrices

LA BANDE à BONNOT

 

   

 

Comédie dramatique de 1968 durée 110' Couleur

 

Réalisation et scénario de Philippe Fourastié

Co-scénaristes Jean Pierre Beaurenant, Pierre Fabre et Rémo Forlani

Dialogues de Marcel JULLIAN

Directeur de la photographie Alain Levent

Musique de Jacques Brel

Montage de Jacqueline Thiédot

 

avec

Jacques Brel

Bruno Cremer

Annie Girardot

Jean-Pierre Kalfon

François Dyrek

Dominique Maurin

Michel Vitold

Anne Wiazemsky

Armand Mestral

Léonce Corne

Jean Mauvais

Jacqueline Noëlle

Marc Dudicourt

Fred Personne

Edmond Freess

Jean-Michel Dhermay

Pascal Aubier

Jean-Pierre Garnier

Nella Bielski

François Moro-Giafferi

Adolfo Lastretti

Eric Schlumberger

Victor Serge

 

 Sortie le 30 octobre 1968

Résumé

 Un groupe d'ouvriers, Callernin - dit Raymond-La-Science - Carouy et Soudy, se séparent du mouvement anarchiste pacifiste, dirigé par Victor Kibaltchiche, pour mener leur propre action violente contre la société bourgeoise. Ils s'adjoignent le concours de Jules Bonnot, mécanicien, qui devient leur chef et celui du poète Octave Garnier et de sa maîtresse, Marie-La-Belge.

 Puis, le 21 décembre 1911, à Paris, rue Ordener. après avoir volé un véhicule, la bande exécute le premier hold-up en automobile, en tirant sur un garçon de recettes. Ils poursuivent ensuite leur action à Bruxelles où ils échappent une fois encore aux forces de l'ordre en déclenchant une fusillade dans un cinéma.

 Pendant ce temps, à Paris, la police a arrêté Dieudonné, un anarchiste étranger à leurs méfaits, mais reconnu par la victime comme étant son agresseur. Garnier écrit alors au journal "Le Matin " pour l'innocenter, mais le commissaire Jouin garde Dieudonné en otage, espérant que son amie la Vénus Rouge finira par dénoncer les véritables malfaiteurs.

 Après quelques mois et de nouvelles actions criminelles de la bande, les espoirs du commissaire sont comblés; il fait arrêter Soudy. Carouy et Raymond-La-Science. Mais Bonnot échappe à la police en faisant le mort après avoir abattu Jouin. Il se réfugie alors avec Garnier et Marie-La-Belge dans un hôtel de Nogent-sur-Marne. Là, ils soutiennent le siège de toutes les polices, exceptionnellement renforcées de zouaves.

 Les deux hommes sont abattus sur place. On y retrouve la dernière lettre de Bonnot qu'il a rédigée, enveloppé dans un matelas: - "Je suis un homme célèbre".