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L'HOMME QUI CHERCHE LA Vérité

 

 

Comédie dramatique de 1939 durée 90'

 

Réalisation de Alexandre Esway

Scénario et dialogues de Pierre WOLFF

Directeur de la photographie Victor ARMENISE et Henri Janvier

Musique de Adolphe BORCHARD

Montage de Maurice Serein

 

avec

RAIMU

Jacqueline DELUBAC

André ALERME

Gabrielle DORZIAT

Jean MERCANTON

TRAMEL

Suzanne DEHELLY

Jean TISSIER

Yvette LEBON

Robert SELLER

René GENIN

Georges PAULAIS

Paul Escoffier

André Numès Fils

Nicolas Amato

Jacques Henley

André Alerme

Lydie Vallois

Michèle Olivier

 

 Sortie le 20 mars 1940

Résumé

 A l'automne de sa vie, le banquier Jean Vernet semble avoir atteint le bonheur parfait. Il fait bénéficier de sa bonté naturelle ses employés, ses serviteurs et son entourage, sa sœur et son beau-frère, le ménage Larose; son filleul Fernand qu'il a recueilli, élevé et choyé et une ravissante jeune femme Jacqueline Diel dont il a fait la connaissance alors qu'elle venait d'être veuve et qui est devenue son amie.

 Cette atmosphère confortable est perturbée par un incident qui lui fait soupçonner que Fernand est devenu l'amant de Jacqueline Diel. Le banquier est confirmé dans ses appréhensions par une lettre anonyme écrite par sa sœur, la perfide Adrienne, qui déteste Jacqueline tout en lui montrant bon visage.

 Jean Vernet qui voit peu à peu se lézarder un édifice qu'il croyait solide se décide à aller jusqu'au bout de ses investigations. Brusquement, il fait part à tous qu'il n'entend plus. Une surdité soudaine et étonnante l'isole des humains. Aussitôt, du maître d'hôtel au beau-frère, du filleul à Adrienne, c'est un déballage de grossièretés, de vilenies, de révélations cruelles que, sans gêne, on lui jette à la figure en affectant des sourires affectueux.

 Fernand est un jeune filou sans scrupules et sans moralité, les domestiques sont de tristes sires, Larose un imbécile qui court vaniteusement le guilledou sa sœur une mégère prête à saper le bonheur de son frère et à l'escroquer; jusqu'aux spécialistes convoqués pour soigner le banquier qui se révèlent avides et incompétents.

 Vernet comprend qu'il ne peut compter que sur l'amitié de son ami le caissier et la fidélité de son chien. Seule, Jacqueline aura le courage de lui avouer sa faute et il lui sera beaucoup pardonné après que, rétablissant la situation, Jean Vernet ayant trouvé la vérité ait chassé sa famille, corrigé le filleul félon et congédié ses domestiques.