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BATAILLON DU CIEL

 

 

Guerre de 1945 durée 130' n&b

 

Réalisation de Alexandre Esway

Scénario et dialogues de Joseph KESSEL

Co-scénariste Marcel RIVET

Directeur de la photographie Nicolas HAYER

Musique de Manuel ROSENTHAL et Maurice THIRIET

Montage de Léonide Azar

 

avec

Pierre BLANCHAR

René LEFÈVRE

Raymond BUSSIÈRES

Jean WALL

Marcel MOULOUDJI

PIERRE-LOUIS

Nicolas VOGEL

Howard VERNON

Paul Barge

Andrée Debar

Paul Faivre

René Alié

André LE GALL

Luc Andrieux

Henri NASSIET

Charles MOULIN

Jeanine CRISPIN

Daniel MENDAILLE

Georges Patrix

Fernand Bellan

Christian Simon

Claude-Jean Bonnardot

Bernard Véron

Jo DEST

Henri San Juan

Christian BERTOLA

John HOWARD

Christine Vall

 

Sortie le 05 mars 1947

Résumé

 1. Ce ne sont pas des anges. En Angleterre au printemps 1944, le colonel Rouvier, un vieux baroudeur qui a perdu un bras en Tunisie, prend le commandement d'un régiment de parachutistes de la France Libre, déjà sous les ordres du capitaine Férane, un officier aimé et respecté. Après un entraînement intensif, les premières vagues sautent sur la Bretagne pour préparer le débarquement des armées de Patton.

 2. Terre de France. Leur mission est de recueillir des informations sur les forces et les déplacements de l'ennemi, d'organiser des embuscades et des sabotages. Accompagné du médecin Ben Sassem, le capitaine Férane installe son quartier général à St-Vallier et prend contact avec les FFI coordonnés par le baron de Brandoz.

 Les premières escarmouches se produisent. Venu de Nouvelle-Calédonie, Le Canaque est la première victime, mort sur le sol de France qu'il rêvait de fouler. François doit achever son ami le lieutenant de Carrizy, blessé, pour l'empêcher de tomber vivant dans les mains des SS.

 Quérec retrouve sa femme Berthe engagée dans la résistance. Tous deux, en compagnie de Véron et de Drobel, sont faits prisonniers par les Allemands. Sous la torture, Véron donne l'emplacement du QG de leur unité : ils seront tous fusillés, avec plusieurs civils. Seul Quérec parviendra à s'enfuir, mais ne réussira pas à prévenir Férane, qui sera abattu avec ses hommes.

 Mortellement blessé, Quérec trouvera la force de tuer l'officier allemand qui commandait le détachement. Les hommes de Férane auront tenu deux mois, retardant la division Oder et permettant ainsi au général Patton d'implanter ses forces en Normandie. Il ne restera que deux survivants, François et Le Gorille ; tous leurs camarades seront décorés à titre posthume.