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LA FIN DU JOUR

 

 

Comédie dramatique de 1938 durée 108' n&b

 

Réalisation et scénario de Julien DUVIVIER

Co-scénariste et dialoguiste Charles SPAAK

Directeurs de la photographie Armand THIRARD,

Christian MATRAS et Robert Juillard

Musique de Maurice JAUBERT

Montage de Marthe Poncin

Décors de Jacques Krauss

Ingénieurs du son Antoine Archimbaud et Tony Leenhardt

 

avec

Victor FRANCEN

Louis JOUVET

Michel SIMON

Madeleine OZERAY

Gabrielle DORZIAT

Sylvie

Gaston MODOT

Gabrielle FONTAN

François PÉRIER

Robert OZANNE

Philippe RICHARD

Marguerite De Morlaye

Marie-Hélène DASTÉ

Odette TALAZAC

Maurice SCHUTZ

Pierre Sergeol

Arthur DEVERE

JOFFRE

Paul Escoffier

Victor Vina

Gaby ANDREU

Gaston Jacquet

René BERGERON

Robert ROLLIS

Pierre MAGNIER

Georges Bever

René Lacourt

Blanche Denège

Henri Nassiet

Louis VONELLY

Jean Aymé

Martial RÈBE

Romain Bouquet

Auguste Bovério

Henriette MORET

Charles GRANVAL

Tony JACQUOT

Claude Benedict

Geneviève Sorya

Jean Coquelin

Alexandre Arquillière

Simone Gauthier

Camille Beuve

Raymone

Claude Sainval

Gaston Secrétan

Catherine Carrey

Marthe Marty

 

Sortie le 22 mars 1939

 

 

 

 

 

 

 

 

Résumé

 L'abbaye de Saint-Jean-la-Rivière est une institution charitable pour les vieux comédiens sans ressources; une menace de fermeture plane cependant sur la maison de retraite où vient d'arriver le beau Saint-Clair.

 Acteur autrefois adulé, briseur de cœurs, il retrouve parmi ses anciens camarades Marny, comédien de talent, dont il a jadis séduit la femme, et Cabrissade, cabot raté, vieux gavroche, éternelle doublure, qui sympathise avec une troupe de scouts campant dans les environs et pousse à la révolte les pensionnaires de l'abbaye.

 Pour revivre ses conquêtes passées, Saint-Clair entreprend de séduire Jeannette, la petite bonne du café, et l'amène insensiblement au suicide. C'est Marny qui sauve la jeune fille. Saint-Clair devient fou et Cabrissade qui avait tout fait pour jouer le rôle de Flambeau, dans une représentation de "L'Aiglon", donnée au profit de l'abbaye, meurt en scène, incapable de dire un vers. Gilles Marny qui fut sa tête de turc, prononce sur la tombe son éloge et, à travers lui, exalte la grande famille des comédiens.