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L'HOMME DU JOUR

 

 

Comédie de 1936 durée 90' n&b

 

Réalisation et scénario de Julien DUVIVIER

Co-scénaristes Charles VILDRAC et Charles SPAAK

Dialogues de Charles SPAAK

Directeur de la photographie Roger HUBERT

Musique et chansons de Jean WIENER, Michel EMER, Charles TRENET,

BOREL-CLERC et Vincent SCOTTO

Montage de Marthe Poncin

 

avec

Maurice CHEVALIER

Elvire POPESCO

André ALERME

Josette DAY

Marcel VALLEE

Marguerite DEVAL

Renée DEVILLERS

Marcelle GENIAT

Jeanne FUSIER-GIR

Paul DEMANGE

Raymond Aimos

SINOEL

Fernand FABRE

Robert LYNEN

Yvonne Yma

Robert Pizani

Marcel CARPENTIER

Marcel ANDRÉ

Pierre Sergeol

Léon Arvel

Arthur DEVÈRE

Robert SELLER

Paul Escoffier

Philippe Janvier

Georges Vitray

Marcelle PRAINCE

Victor Vina

Gaby André

Georges ROLLIN

Jacqueline Pacaud

Marcel Vibert

Jean Daurand

Paulette Elambert

Germaine Michel

Romain Bouquet

Jean WIENER

Charlotte BARBIER-KRAUSS

Jacques GRETILLAT

Charles GRANVAL

Emile Riandreys

Simone Deguyse

Henri Étiévant

Geneviève Sorya

André Varennes

Simone Gauthier

Albert Brouett

Eugène Stuber

Robert Ralphy

MISSIA

Emile Tramont

Edith Gallia

 

Sortie le 26 février 1937

 

 

 

 

Résumé

 Avec son amie Suzanne, Alfred Boulard rêve de music-hall et de succès. Il passe une audition dans l'indifférence et retourne à son quotidien : sa pension de famille, l'hôpital où il est électricien. Le hasard veut qu'il sauve la grande comédienne Mona Thalia en lui donnant son sang. Pour les journaux où s'étale sa photo, il devient. éperdue de reconnaissance tapageuse, Mona veut aider Alfred, qu'elle trouve beau garçon, et en faire un tragédien. Suzanne, elle, retient l'attention de Cormier, le gros ami de Mona, prêt à favoriser ses fragiles dispositions de chanteuse. Mais Alfred contrôle mal sa célébrité : bains de foule, jalousie et haine... Mona révèle sa vraie nature de snob colérique qui s'encanaille sur une passade. Et Suzanne doit subir les assauts de Cormier.

 La mère d'Alfred comprend les illusions que se font les jeunes gens. De plus, la gloire est éphémère : un nouvel apparaît, qui renvoie Boulard aux oubliettes. Alfred règle des comptes avec un pensionnaire indélicat, comprend la gentillesse de la fleuriste de sa rue qui l'aime secrètement et, revenu à lui, se rend au music-hall où Suzanne fait des débuts calamiteux en première partie de Maurice Chevalier. Ce dernier confirme Alfred dans ses sages résolutions : chacun sa place et mieux vaut être spectateur que mauvais acteur. Réunis à nouveau, les jeunes gens écoutent Chevalier dans son dernier succès.