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NE LE CRIEZ PAS SUR LES TOITS !

 

 

Comédie dramatique de 1942 durée 99' n&b

 

Réalisation de Jacques DANIEL-NORMAN

Scénario et dialogues de Jean Bernard-LUC

Co-scénariste Alex JOFFÉ

Adaptation de Jean MANSE

Directeurs de la photographie

Léonce-Henry BUREL et Jacques MERCANTON

Musique de Roger DUMAS

Montage de Jean Sacha

 

avec

FERNANDEL

Meg LEMONNIER

Jacques VARENNES

Thérèse DORNY

Léon BÉLIÈRES

Georges LANNES

Robert LE VIGAN

Paul AZAÏS

Henri ARIUS

Jacques BERLIOZ

Jean TOULOUT

Marcel ANDRÉ

Robert Dalban

Robert Moor

Manuel Gary

Lucien Brulé

Madeleine Pagès

Albert GERCOURT

Pierre FEUILLÈRE

Jean Daniel

Gaston Séverin

Harry James

Marie-José MAFFÉI

Maurice FLANDRE

 

 Sortie le 14 juillet 1943

Résumé

 Vincent Fleuret est un modeste et souriant aide-chimiste, assistant du vénérable professeur Moucherotte, de l'Académie des Sciences, lequel est sur le point de trouver la formule du Benzyl, un super-carburant synthétique aux propriétés révolutionnaires.

 Fleuret, lui, s'intéresse plutôt à la vie éternelle des fleurs. En se perdant un peu dans les chiffres, il finit par tomber sur... la formule de la dynamite ! Le vieux professeur est hébergé, avec son élève, par la famille Noblet, qui espère bien tirer profit de son invention.

 Un groupe de financiers marrons est également sur le coup, et a placé comme sous-marin chez les Noblet Octave, un majordome à l'affût de la moindre fuite. Il emploie deux hommes de paille, Trapu et P'tit Louis, pour les basses besognes.

 Une jeune et jolie journaliste, Renée Lancel, s'introduit de son côté dans la place, espérant recueillir en exclusivité la formule du fameux Benzyl. Mais un soir, le professeur Moucherotte succombe à une syncope. Les dernières lignes de son agenda laissent entendre qu'il a confié le secret de sa découverte à Vincent.

 Du jour au lendemain, celui-ci devient l'objet de toutes les attentions de son entourage, et la proie d'aigrefins de tout poil. Parmi eux, l'éminent professeur Bontagues, un hurluberlu qui lui propose un contrat mirifique, que l'autre signe sans sourciller. La presse s'en mêle, puis la justice.

 Un procès a lieu, où chacun tente d'accabler l'innocente victime, qui en se défendant bec et ongles, parvient à retourner l'opinion en sa faveur et passe pour un martyr de la science. Il faut dire qu'il a trouvé un précieux soutien en la personne de l'intrépide journaliste. Les affairistes seront confondus, Bontagues envoyé au dépôt, et le gentil potard sera acclamé par la foule.