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LES GODELUREAUX

 

   

 

Comédie de 1960 durée 99' n&b

 

Réalisation de Claude CHABROL

Scénario et dialogues de Paul GEGAUFF

Co-scénariste Éric OLLIVIER d'après son roman

Directeur de la photographie Jean RABIER

Musique de Pierre JANSEN

Montage de James Cuenet

 

avec

Jean-Claude BRIALY

Bernadette LAFONT

Jean GALLAND

Jean TISSIER

Stéphane AUDRAN

Dominique ZARDI

Mario DAVID

Henri ATTAL

Claude CHABROL

Philippe Castelli

Pierre VERNIER

Gabrielle Doulcet

Albert Dinan

Jeanne Pérez

Michel Beaune

Juliette MAYNIEL

Charles BELMONT

Sacha BRIQUET

Charles Bayard

Sophie GRIMALDI

Pascal Fardoulis

Rudy Lenoir

Liliane DAVID

Jean-Marie Rivière

Jean-Michel Rouzière

Laure Paillette

Raymond Pélissier

André Tomasi

Serge BENTO

France Asselin

Jean-Marie Arnoux

Claude Caroll

Parisys

Jacques Ralf

Jean-Louis MAURY

Corrado GUARDUCCI

Bernard Papineau

André Chanal

Jean Bouchaud

Georges Debot

André JOCELYN

 

 Sortie le 17 mars 1961

Résumé

 Ronald est un richissime jeune oisif qui passe son temps, avec des amis, à des jeux idiots. Victime lui-même d'une plaisanterie qui l'a blessé dans son orgueil - Arthur, un pilier comme lui de Saint-Germain-des-Prés, a simplement déplacé sa voiture - Ronald décide de se venger : "Je ne sais pas encore comment, mais Dieu y pourvoira. Il me faut un miracle ! A moi Satan! " Et le miracle se produit : "Pantalon collant, style blue-jeans, polo collant, petit baluchon noué dans un mouchoir d'Hermès, c'est Ambroisine en marche. "

 Ronald pousse Ambroisine dans les bras d'Arthur qui, éperdu d'amour, supporte tout de la jeune femme. C'est exactement ce que souhaitait Ronald qui, manipulant Ambroisine à son gré, fait et défait le couple au grand désespoir d'Arthur. Après avoir définitivement escamoté l'instrument de sa vengeance, Ronald révèle la vérité à l'amant éploré; sa facile victoire ne le réjouit d'ailleurs pas comme il le souhaiterait.

 Un an plus tard, à Cannes, Arthur retrouve Ambroisine; celle-ci, vaguement snob, semble devenue respectable. Le jeune homme, quant à lui, n'éprouve plus de passion.