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LE MORT EN FUITE

 

 

Comédie de 1936 durée 85' n&b

 

Réalisation de André BERTHOMIEU

Scénario de Loïc LE GOURIADEC

Dialogues de Carlo RIM

Directeur de la photographie Jean ISNARD

Musique de Marcel LATTES

 

avec

Jules BERRY

Michel SIMON

Marie GLORY

Paul FAIVRE

Gabrielle FONTAN

Georges Paulais

Pierre Ferval

Claire GÉRARD

Gaston MAUGER

Marcel VIBERT

Edy DEBRAY

Pierre Mindaist

Fernande ALBANY

Hugues de Bagratide

Jean Diéner

André Siméon

Paul Gury

Robert Ralphy

 

Sortie le 20 novembre 1936

Résumé

 Deux comédiens des Folies Printanières, Hector Trignol et Achille Baluchet, que Myrrha, la vedette de la revue, méprise profondément, décident d'attirer l'attention sur eux en élaborant un plan qui pouvait passer pour ingénieux.

 Ils imaginèrent que l'un allait assassiner l'autre, fictivement bien sûr, la victime disparaîtrait pour un temps, laisserait le pseudo-assassin être incarcéré, et, au moment du procès, reparaîtrait en un coup de théâtre pour disculper son ami.

 Le mobile était facile à trouver : la belle Myrrha. Dans une scène de jalousie Trignol supprimera Baluchet.

 Le plan se déroula comme prévu. Son assassinat simulé, Baluchet s'éloigna discrètement. Trignol se retrouva en prison.

 Pendant ce temps, Baluchet était arrivé en Europe Centrale mais fi est enlevé par des soldats sergariens, incarcéré dans un cachot de Sergarie et traduit devant la Haute-Cour sergarienne.

 Baluchet était le sosie d'un certain général Popoff, en rébellion ouverte contre le gouvernement de son pays.

 Tandis que Baluchet se voyait condamné à être fusillé, dans une langue qu'il ne comprenait pas, la plaidoirie de l'avocat de Trignol poussait irrésistiblement son client vers la guillotine et, de fait, la sentence de mort fut prononcée : Baluchet n'ayant pas paru au moment fatidique.

 Une Slave, toute dévouée à Popoff s'aperçut du drame. Elle s'employa à favoriser l'évasion de Baluchet et celui-ci, aussi vite qu'il le put, revint en France; quelques minutes de plus et le couperet s'abattait sur Trignol.

 Leur ingéniosité fut récompensée : on installa deux guérites à la porte du théâtre, Trignol et Baluchet s'y installèrent. Des écriteaux indiquaient aux curieux : Le Prétendu Assassin et Le Mort Présumé