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J'étais UNE Aventurière

 

 

Comédie dramatique de 1938

 

Réalisation de Raymond BERNARD

Scénario de Jacques COMPANEEZ

Dialogues de Michel DURAN

Directeurs de la photographie Michel KELBER et Philippe AGOSTINI

Musique de Paul MISRAKI

 

avec

Edwige FEUILLÈRE

 Jean MURAT

 Jean TISSIER

Marguerite MORÉNO

Félix OUDART

Milly MATHIS

Marguerite De Morlaye

 André NUMÈS fils

Mona GOYA

Michel FRANÇOIS

 Guillaume de SAX

Gaby André

Louis Vonelly

Jean MAX

Christian ARGENTIN

Max Dejean

Marcel Duhamel

Félix Claude

Fernand Blot

Paul Marcel

 

 Sortie le 21 décembre 1938

Résumé

 Dans les palaces d'Europe, jouant les comtesses ruinées, Véra Vronsky escroque de richissimes et peu scrupuleux gogos avec l'aide de ses complices Paulo et Désormeaux. Jusqu'au jour où, à Cannes, elle tombe amoureuse de l'homme d'affaires Pierre Glorin et part avec lui, abandonnant ses deux associés. Ceux-ci la retrouvent à Paris, où elle feint de continuer sa carrière d'aventurière sous la personnalité de lady Kennington.

 Désormeaux l'oblige à commettre un dernier coup avec eux; dérober «l'Imperator», un brillant fameux apporté dans la capitale par le diamantaire Van Kongen. Véra, qui a su profiter des leçons de son mentor, fait croire à son arrestation et incite les deux escrocs à fuir. Mais Désormeaux comprend très vite le stratagème qu'elle a utilisé pour se débarrasser de lui et de son complice. Il parvient à retrouver sa trace, et, accompagné de Paulo, qui se fait passer pour un membre de la famille de Véra originaire de Russie, il fait irruption dans la propriété de Pierre.

 Véra, qui n'a jamais osé avouer son passé à son mari, se voit contrainte de jouer le jeu de Désormeaux, lequel projette de s'emparer des bijoux des invités. Une fois le vol commis, la jeune femme met Pierre au courant de ses anciennes activités et tous deux se lancent à la poursuite des deux aigrefins. Une panne d'essence les oblige à abandonner, mais Paulo, pris de regrets, revient au matin rendre les bijoux.

 Plus tard, au moment de monter à bord d'un paquebot en partance pour l'Amérique, il fera croire à Désormeaux qu'il a perdu le magot en laissant tomber la précieuse mallette à la mer.