LE GRAND PARDON

Alors que se déroule le baptême de son petit-fils, Raymond Bettoun, 50 ans, juif d'Algérie, chef de gang, fait évader " le Sacristain ", criminel notoire qui, sitôt libre, règle son compte à Carreras. Ainsi Bettoun est débarrassé d'un rival qui briguait le Casino de Biarritz. Ses méthodes sont efficaces. Il règne en maître sur le Paris du jeu, du racket et de la prostitution.

Afin de régler ses dettes de jeu, Azoulay prête des filles de l'hôtel tenu par Freddy à Pascal Villars, qui les fait travailler sur des chantiers.

Villars est un truand, ami de Bettoun, qui vient de faire un casse à Genève. Azoulay doit abattre un témoin génant. Emoi au sein de la communauté.

Prudent, Bettoun doit s'assurer auprès de son homologue arabe, qu'il n'est passes pensable de ce meurtre.

Villars tue Azoulay et accuse les Arabes. La guerre est déclenchée; Bettoun est arrêté par le Commissaire Duché. Son fils, Maurice, prend la succession.

Par ses méthodes réfléchies, il s'oppose à son cousin Roland. Pépé, le bras droit de Bettoun est abattu, ainsi que sa l'ille Viviane, puis Colette, la femme de Freddy, "La Guêpe", le poulain de Bettoun, et enfin Roland.

Le Commissaire se voit contraint de relâcher Bettoun pendant une semaine, car lui seul peut mettre fin à ce carnage.

Lorsqu'il apprendra que Pascal Villars est à l'origine de tout, il lui tirera une balle dans la bouche, le jour de la fête juive, le jour du grand pardon.